Adixia Romaniello semble revivre. Tout juste séparée de Simon Castaldi, la jolie Belge est loin d'être accablée. Trompée par son ancien compagnon, l'influenceuse avait tenté de passer l'éponge. En vain. Depuis des mois, le duo battait de l'aile et la confiance était brisée.
Alors que de nombreux blogueurs affirmaient que le couple était dans une relation toxique et destructrice, la jolie blonde a manifestement tranché. Depuis, elle est plus épanouie que jamais. Et la présence de son ex Jim Zerga dans sa vie intrigue les internautes. Ces derniers sont en effet persuadés qu'il y a entre eux ces deux-là davantage qu'une simple histoire d'amitié.
Une relation ambigüe avec Jim Zerga ?
Quelques jours après sa rupture avec Simon Castaldi, Adixia Romaniello a été aperçue à Amsterdam, puis en Alsace, avec Jim Zerga. Amis depuis des mois, les jeunes gens auraient-ils envie de se donner une seconde chance ? Selon la blogueuse @Shayaratv, le duo a également été vu en week-end en Suisse, où il semblait être "assez proche".
L'instagrameuse pointe du doigt une "amitié bizarre". Simon Castaldi était, semble-t-il, au courant de ce lien particulièrement fort. Mais le jeune homme pourrait devenir fou de rage s'il découvrait la jolie blonde dans les bras de son ex juste après leur séparation.
Déçue par Simon Castaldi ?
Ce lundi 31 octobre 2022, alors qu'elle s'apprêtait à fêter Halloween, Adixia Romaniello a publié un texte intrigant. En story sur Instagram, l'influenceuse a partagé cette citation :
Ne vous attachez jamais trop, car les gens se réveillent avec des sentiments différents chaque jour.
Cette pique sans équivoque pourrait s'adresser directement au candidat avec qui elle a partagé l'aventure des Cinquante.
Si elle a indiqué qu'il fallait "prendre en compte" cette réalité, la jolie blonde pourrait avoir été blessée.
Simon Castaldi aurait-il eu des propos blessants à son égard ? Difficile pour le moment d'en savoir davantage. Une chose est sûre, la probabilité que le duo recolle les morceaux s'éloigne un peu plus chaque jour.
