Jazz Correia n'a jamais caché sa richesse. Depuis quelques années, la jeune femme n'hésite pas à filmer son luxueux train de vie sous toutes les coutures, quitte à se faire lyncher. Ce mercredi 28 décembre 2022, l'épouse de Laurent Correia s'est livrée au jeu des questions réponses avec ses admirateurs. Et lorsque l'un de ses abonnés l'a interrogée sur la somme de ses dépenses courantes, la jolie brune a répondu en toute honnêteté. Un choix qui a évidemment fait réagir certains des membres de sa communauté.
Une somme très conséquente
Maman de trois enfants, Jazz Correia a, comme tous les parents, de nombreuses charges mensuelles à payer. Questionnée sur la somme minimale qui lui est nécessaire par mois "pour vivre", l'influenceuse a livré un chiffre étonnamment élevé :
Vous allés être choqués 35 000 euros par mois.
A-t-elle écrit tout en précisant qu'avec cette somme elle réglait "école, assurance maladie, assurance vie, électricité, employés de maison, assurance voiture, essence et courses".
La candidate de La Bataille des Clans n'a visiblement pas inclus dans ce montant ses frais de coiffeur et d'esthétique, son shopping, ses produits de beauté ou ses nombreux voyages et sorties. Au total, la grande amie d'Emine pourrait voir ce chiffre augmenter de manière conséquente.
Un geste assumé
Peu de temps après cette révélation, Jazz Correia a été critiquée pour avoir fait étalage de sa richesse en pleine période de crise économique. La jeune femme a précisé qu'elle n'avait pas l'intention d'exposer sa vie mais simplement de la filmer. Après être revenue sur ses origines niçoises et sur la simplicité de son existence passée, l'influenceuse a mis en avant sa franchise :
Vous préférez des hypocrites qui font croire qu'ils viennent de la cité alors qu'ils vivent dans des apparts de ouf ?
A-t-elle questionné, avant de pointer du doigt "celle qui fait la fille du peuple mais qui va chez le coiffeur et au resto tous les jours" ou encore "celle qui fait genre de se filmer en éco mais ne dit pas qu’elle prend l’avion 2 fois par mois".
Je ne suis pas cette fille-là. Je suis Jazz et je ne vous mens pas.
A-t-elle conclu avec fermeté.
Des propos qui devraient en faire taire plus d'un.