Depuis plusieurs semaines, la crise des Gilets jaunes secoue violemment la France, et particulièrement, l’Elysée.
En effet, les violences se déchaînent dans les quatre coins du pays. Alors qu’Emmanuel Macron fait mine de garder la tête froide, cette situation est difficile à vivre pour les deux camps. Plus encore, pour les personnes qui se trouvent entre les Gilets jaunes et le président français, particulièrement pour le personnel de l’Elysée.
Le personnel de l’Elysée se faisait continuellement insulté
Avant que le président français ne se prononce et ne propose des solutions pour régler la situation, beaucoup de manifestants ont passé leurs nerfs sur les standardistes de l’Elysée. Le vendredi 14 décembre 2018, Le Parisien rapporte comment Emmanuel et Brigitte Macron ont remercié le personnel pour leur sang-froid. Le quotidien rapporte que le couple présidentiel est passé « remercier les standardistes du palais, qui ont essuyé des insultes. »
Selon une source proche du président français, ce dernier a vécu la crise des Gilets jaunes « comme une épreuve personnelle. »
D’autant plus qu’il régnait une ambiance particulièrement lourde au 55, rue du Faubourg-Saint-Honoré à Paris.
La crise des Gilets jaunes ne semble pas encore résolue
Une autre personne proche d’Emmanuel Macron, citée par le quotidien, synthétise que :
Sarkozy s’est représenté mais n’a pas été réélu ; Hollande n’a pas pu se représenter : Macron ne finira peut-être pas son mandat …
Effectivement, les manifestants réclament qu’Emmanuel Macron quittent sa fonction de chef de l’Etat.
Le Parisien rapporte également que depuis son allocution télévisée du mardi 11 décembre 2018, le président « respire mieux ».
Près de 2,3 millions de téléspectateurs ont, en effet, écouté le discours du président français. Toutefois, la situation est encore loin d’être résolue. Pour plusieurs français, les solutions du président français ne sont que des "cacahuètes" par rapport aux revendications des Gilets jaunes.
S’il ressort une phrase à la con, cette fois, ça comptera double.