Une première dans l’histoire du célèbre concours. Une candidate trentenaire s’est imposée lors d’une élection Miss France. Angélique Angarni-Filopon a réalisé cet exploit ce samedi 14 décembre 2024 à l’Arena Futuroscope de Poitiers. À 34 ans, celle qui a participé à cette compétition suite à "un pari avec des copines" peut se targuer d’avoir réussi son parcours.
Toujours sur un petit nuage, l’ambassadrice de beauté multiplie les interviews depuis son sacre. Ce lundi 16 décembre 2024, elle était présente sur le plateau de Quotidien. Et comme à l’accoutumée, elle a fait des révélations sur les coulisses de l’élection. L’hôtesse de l’air en a profité pour révéler ce surnom donné par ses concurrentes qui l’agaçait.
"Je ne supportais pas"
Elle a fait sensation auprès des membres du jury et de nombreux téléspectateurs. Angélique Angarni-Filopon ne fait pas pour autant l’unanimité dans les rangs des Français. Outre son apparence, notamment ses cheveux courts, certains estiment qu’elle est trop âgée pour être Miss France.
En effet, son âge revient souvent dans les discussions. Et Yann Barthès n’a pas fait exception face à son invitée. La séduisante Martiniquaise en a alors profité pour mettre les points sur les "i". Elle a notamment parlé de son expérience et de sa maturité.
Auprès des 29 autres candidates de Miss France 2025, Angélique Angarni-Filopon a aussi été confrontée à cette situation. Et pour cause, elle était la doyenne de cette promotion. Du coup, elle a hérité de certains surnoms qui ne lui plaisaient pas forcément.
Au début, les filles m'appelaient 'Maman' ou m'appelaient 'Tatie' et je ne supportais pas du tout donc je leur ai dit d'arrêter ça tout de suite parce que je n'avais envie de materner personne.
Angélique Angarni-Filopon a joué le rôle de "grande sœur"
Elle ne supportait pas qu’on l’appelle "Maman". Face à Yann Barthès et ses chroniqueurs de TMC, la Miss France 2025 a pourtant confié qu’elle endossait le rôle de l’aînée de la fratrie.
J'avais plus envie de les protéger en tant que grande sœur, d'apaiser, de consoler, et c'est vraiment ce qui s'est passé. C'est pour ça qu'elles m'ont sauté dans les bras à la fin, parce que j'essayais de temporiser, puis je les soutenais beaucoup. À chaque fois qu'on partait en répétitions, je criais : 'Allez les filles, donnez tout, vous êtes trop belles !'.
Une aventure humaine qui restera longtemps gravée dans sa mémoire.