A quelques semaines de la sortie du troisième volet de Qu'est-ce qu'on a fait au bon Dieu, Ary Abittan est actuellement en plein scandale. En effet, le comédien a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire après 48 heures de garde à vue, suite à une plainte pour viol.
La victime présumée est "extrêmement mal"
Une affaire sur laquelle Myriam Palomba, directrice déléguée du magazine Public, a fait de nouvelles révélations sur le plateau de Touche pas à mon poste. Elle a ainsi expliqué avoir eu accès aux rapports médicaux-légal de l'affaire qui révèlent qu'il y aurait eu "quelques contusions au niveau du coccyx qui ont valu à la victime présumée 2 jours d'interruption du travail".
Toujours selon Myriam Palomba, la victime présumée est "extrêmement mal". Et pour cause, cette dernière aurait des "crises d'angoisse" à cause de l'ampleur de l'affaire et redouterait que son nom soit révélé dans la presse.
Ary Abittan, lui, se trouverait actuellement chez un ami, en région parisienne. Le comédien continuerait de nier les faits qui lui sont reprochés. Il peut compter sur le soutien de sa compagne. Myriam Palomba précise :
On ne sait pas s'il y a agression sexuelle ou quoi, mais ce qui est sûr, c'est qu'il a trompé sa compagne et pourtant, elle est toujours là. Elle pourrait même apporter son témoignage au dossier en disant qu'Ary n'a jamais été violent avec elle.
Tout pourrait se jouer au mois de janvier prochain. Et pour cause, une confrontation entre le comédien et la présumée victime pourrait avoir lieu, ce qui pourrait tout changer.
La présumée victime a subi "de graves violences"
Une confrontation sur laquelle ne s'est pas exprimée Maître Arash Derambarsh, l'avocat de la plaignante. Invité au micro de RTL, il a déclaré que sa cliente a subi « de graves violences, en l’occurrence un viol avec violences ». Il a également confirmé que des "ITT ont été constatées".
Et de conclure :
Ce n’est pas parce que vous établissez une relation intime avec quelqu’un que vous pouvez tout accepter. Nous devons respecter le secret de l’instruction et le principe de la présomption d’innocence, mais je prends la parole aujourd’hui pour qu’on siffle la fin de la récréation.
En effet, l'avocat réclame "la fin de la pression médiatique pour essayer d'édulcorer les faits, qu'on arrête de discréditer la parole de la plaignante", mais également "qu'on arrête de dévaloriser la parole de la victime une bonne fois pour toutes dans le pays".