Ayem Nour traverse actuellement une période extrêmement complexe. Une semaine après avoir été accusée d'enlèvement d'enfant par son ex-conjoint, la jolie brune est toujours bloquée au Maroc. Vincent Miclet refuserait en effet de lui rendre le passeport de leur fils. Ce mardi 22 novembre, la chroniqueuse de TPMP a décidé de sortir du silence. Sur Instagram, la trentenaire a posté une photo d'elle avec des marques de violence sur le cou. L'homme d'affaires a immédiatement contre-attaqué.
Bien décidée à "révéler toute la vérité"
En publiant une photo qu'elle dit être de 2016 où elle porte des traces de violence, Ayem Nour a décidé de prendre la parole. Pour la première fois, l'ex-candidate de télé-réalité a souhaité "révéler toute la vérité". Sur le cliché, nous voyons que le cou de la jeune femme a été meurtri. Si elle n'accuse pas directement Vincent Miclet, en raison des soucis qu'elle rencontre avec ce dernier, l'image postée à ce moment précis fait penser à certains internautes que la jolie brune aurait été brutalisée par son ancien compagnon.
2016, désormais je vais vous révéler toute la vérité.
a-t-elle écrit en légende.
En commentaires, de nombreuses personnes se sont montrées très choquées de constater à quel point la trentenaire avait souffert. Sarah Lopez a quant à elle confié que "personne ne devrait mériter ça".
Cette publication sera-t-elle isolée ? Ces prochains jours, la jeune femme pourrait faire d'autres révélations le cas échéant.
La réaction de l'homme d'affaires
Peu de temps après avoir pris connaissance de la publication d'Ayem Nour, Vincent Miclet a décidé de ne pas se laisser faire. En légende d'une vidéo d'animation plutôt inattendue, le businessman a accusé la mère de son fils d'affabuler :
Tes mensonges sont ta vérité.
a-t-il écrit avant d'insinuer que son ex vivait dans la "télé-réalité" et non dans la réalité.
Attendons le verdict
a-t-il ajouté ensuite en laissant planer le doute d'éventuelles poursuites judiciaires.
De nombreux internautes ont été très choqués par cette publication. Certains accusent même le quinquagénaire de faire souffrir inutilement son fils et de diaboliser son ex-conjointe.
Pour rappel, la justice française aurait accordé la garde d'Ayvin à sa maman comme elle a pu le déclarer dans une note vocale pour TPMP.