Voilà déjà de longues semaines qu'Ayem Nour est bloquée sur le sol marocain avec son fils Ayvin. Vincent Miclet, son ex-compagnon, serait toujours en possession du passeport du petit garçon. Hélas, le 13 février prochain, l'ex-candidate de télé-réalité se trouvera "en situation irrégulière" et pourrait être expulsée.

Le 14 février, la jeune femme, l'homme d'affaires et leur fils sont convoqués devant le juge des enfants en France. Sans laissez-passer, cette perspective pourrait s'avérer beaucoup plus complexe que prévu.

Des moments extrêmement compliqués

Très émue, Ayem Nour avoue ne pas avoir le moral "au beau fixe". Angoissée, la jolie brune souhaite plus que tout se rendre à la convocation du "juge pour enfants" du 14 février prochain. Sans laissez-passer pour son fils, la jeune femme ne sait pas encore comment ils vont pouvoir aller à cette entrevue capitale.

Cette dernière devait initialement avoir lieu ce lundi 23 janvier. Vincent Miclet et ses avocats auraient fait décaler cette date de quelques semaines pour des raisons qui échappent à l'ex-chroniqueuse de TPMP. En attendant de pouvoir quitter le Maroc, la trentenaire vit dans l'angoisse permanente.

Usée par de longues semaines de bataille, elle confie avoir perdu l'appétit et le "goût de la vie".

Bientôt une pétition ?

Lors de cette longue confession sur Instagram, Ayem Nour a répondu à plusieurs questions de ses abonnés. Alors qu'elle a perdu beaucoup d'amis et fait le ménage dans son entourage, la jeune femme a toujours pu compter sur le soutien de sa communauté.

Un internaute a soumis l'idée de lancer une pétition dans l'espoir de faire bouger les choses. Cette initiative touchante a ému la jolie brune qui salue cette "bonne idée". L'ex-candidate de Secret Story avoue ne jamais avoir eu "la force" de raconter son histoire. L'un de ses abonnés pourrait donc très prochainement prendre la plume pour rédiger un manifeste destiné à alerter sur cette situation pesante.

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