C’est en 2013 qu’Ayem Nour devient la compagne de Vincent Miclet, un riche homme d’affaires de 23 ans son aîné. Trois ans plus tard, en juin 2016, ils accueillent leur premier enfant ensemble, un petit Ayvin, qui subit, malgré lui, la mésentente de ses parents. En effet, quelques mois après la naissance de son fils, Vincent Miclet a annoncé sa rupture avec Ayem Nour et affirmé être resté en bon termes avec celle-ci. Mais il faut croire que la vérité serait toute autre.
Le 15 novembre dernier, Vincent Miclet postait un message alarmant sur son compte Instagram. En légende d’une photo d’Ayvin, dont la mère avait toujours tenu à ne pas l’exposer sur la Toile, l’entrepreneur affirmait que cette dernière avait enlevé leur fils : "Après avoir déposé mon fils à l’école américaine, sa maman Ayem Nour en complicité avec sa mère Farida l’a enlevé de l’école sans mon consentement. Jusqu’à l’heure où je vous parle, nous n’avons aucune nouvelle de Ayvin".
Ayem Nour riposte
Peu après cette annonce, Ayem Nour a démenti les accusations de Vincent Miclet et livré sa version de l’histoire, dénonçant par la même occasion "une situation dramatique et dangereuse". D’après la Lyonnaise, Vincent Miclet, qui réside au Maroc, aurait confisqué le passeport de leur fils, l’empêchant ainsi de rentrer en France, où vit Ayem, qui assure avoir obtenu la garde d’Ayvin : "Il est important que vous découvriez le vrai visage de cette personne et de ceux qui l’entourent. Payez des pseudos blogueurs pour tenter de me pousser au suicide ou à je ne sais quoi ne fonctionnera jamais. Ma priorité reste mon enfant", avait-elle déclaré, avant de les prévenir qu’elle se "chargerait d’eux prochainement".
Et Ayem a tenu promesse puisqu’elle a de nouveau pris la parole pour faire de graves révélations. Le 23 novembre dernier, elle publiait sur Instagram un cliché où elle affichait des traces rougeâtres sur son cou, qu’elle avait légendé ainsi :
2016. Désormais, je vais vous révéler la vérité.
Ce qui lui a valu d’être poursuivie en diffamation par Vincent Miclet. Mais pas de quoi faire flancher la jeune femme de 34 ans, qui vient de balancer de lourdes accusations à l’encontre de son ex.
"Il s’agit d’un étranglement de plusieurs secondes"
Ce samedi 26 novembre, Ayem Nour s’est emparée de son téléphone pour en révéler un peu plus sur cette photo qui a grandement fait parler. La chroniqueuse de TPMP People a clairement fait savoir que Vincent Miclet n’aurait pas hésité à s’en prendre à elle physiquement :
Je suis à bout, le cauchemar continue. Mon fils et moi sommes toujours séquestrés au Maroc depuis treize jours maintenant.
A-t-elle écrit dans un long message posté sur Instagram, avant de douloureusement se remémorer des détails sordides :
Et non, il ne s’agit pas de simples griffures, malheureusement. Il s’agit d’un étranglement de plusieurs secondes, avec volonté de couper la respiration. Cet acte aurait pu être mortel. Tout cela à notre domicile, en présence de notre bébé âgé de quelques mois.
Ayem Nour a poursuivi :
Le lendemain, j’ai, malgré tout, pris l’antenne de mon émission en masquant mes blessures avec une minerve afin de cacher la vérité et de couvrir ce monstre une fois de plus…. Une main courante, un certificat médical ainsi que des échanges d’e-mails le prouvent. Et ce n’est que le début des atrocités que j’ai vécu. Alors voici l’envers du décors horrible que vous prenez pour un conte de fées depuis le début…
Vincent Miclet réagit
Le message d'Ayem Nour n'a pas échappé à Vincent Miclet, qui s'est empressé de nier les propos de son ex. Et d'expliquer qu'ils avaient "la garde partagée" d'Ayvin, qui "ne va plus à l'école depuis que sa mère l'a enlevé" :
C'est une entrave à la loi aux droits de cet enfant. (...) Malheureusement, Ayvin reste le fond de commerce de sa mère. Les faits qui vous ont été rapportés sont fallacieux et s'inscrivent dans le cadre d'un véritable coup monté dont je suis actuellement victime.
A écrit l'homme d'affaires de 57 ans, qui s'est dit "victime d'un véritable complot de la part d'Ayem et sa mère depuis des années".
Vincent Miclet a également nié les accusations de violences, indiquant qu'il s'agissait là d'une "façon de {le} noircir et de faire encore la Une des journaux" :
Je n'ai rien à me reprocher et j'agirai coûte que coûte pour que les agissements de cette personne cessent et que la vérité éclate.