Dès les premières minutes de la saison 1 d’Emily in Paris, le nom de Brigitte Macron a été mentionné. "Leur président est jeune, sexy et a épousé sa prof", déclare notamment la patronne américaine, jouée par Kate Walsh, de la jolie brune, incarnée par Lily Collins. L’héroïne de la série s’apprêtait alors à vivre une aventure dans la capitale française.

Et dans l’épisode 7 de la quatrième saison, déjà disponible sur Netflix, la femme du président de la République a enfin fait son apparition dans le feuilleton américain. Mais, elle n’est pas la seule. Le nom de Carla Bruni a également été cité. Et l’intéressée n’a pas manqué de répondre à ce clin d’œil.

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Carla Bruni @ DR

"Carla Bruni s'est noyée à une soirée mousse"

La vie sentimentale d’Emily Cooper est loin d’être un long fleuve tranquille. Gabriel, Alfie ou encore Marcello, la jeune femme ne manque visiblement pas de prétendants. Malgré tout, elle ne lésine pas sur les efforts pour trouver de nouveaux clients pour l'agence de marketing parisienne Savoir.

Avec l’aide de Sylvie, jouée par l’actrice Philippine Leroy Beaulieu, elle tente notamment de convaincre l’un de leurs clients d’organiser un événement dans une boîte de nuit. La discothèque en question appartient à la mère de Sylvie, Héloïse, incarnée par Liliane Rovère. Et cette dernière a alors raconté une anecdote sur la femme de Nicolas Sarkozy pour tenter de persuader le client.

Oh s'il vous plait, Carla Bruni s'est pratiquement noyée à une soirée mousse ici dans les années 80 !

Et c’est sur son compte Instagram, ce mardi 17 septembre 2024, que Carla Bruni a partagé l’extrait d’Emily in Paris dans lequel elle est citée. Et en légende, elle a écrit : "Merci de me rappeler ma jeunesse", tout en taguant Lily Collins et Philippine Leroy Beaulieu.

L’ex-Première dame évoque ses débuts dans le mannequinat

À titre d’information, Carla Bruni a hérité d’un surnom peu glorieux : "Boring Bruni". Et pour cause, elle se "couchait tôt le soir", ce qui aurait un tantinet agacé Kate Moss. Invitée du podcast France Culture, en 2019, celle qui s’est confiée sur son combat contre le cancer avait en effet évoqué sa carrière de mannequin.

L'alcool et la drogue, j'y ai échappé par hasard, je n'ai pas du tout le goût de l'auto-destruction. Le goût de la fête m'est passé très vite : j'ai le goût du sommeil, je suis une marmotte. Et comme la mode, ça commençait tous les matins à 6 heures, ce qui m'a sauvée c'est de travailler.

L’anecdote que Héloïse raconte dans Emily in Paris n’est donc pas vraie, mais celle-ci reste pour le moins amusante.