Si Silent Jill avait fait ses débuts à la Star Academy, c’est finalement sur Youtube qu’elle a véritablement su se créer une véritable communauté. Suivie par plus de 562 000 personnes sur Instagram, la jeune maman se confie à ceux qui aiment suivre ses aventures.
Dernièrement, elle partageait un souci qu’elle rencontrait avec sa petite dernière. En effet, celle-ci rencontre des problèmes lors du dodo.
Il s’agit ici de mon quatrième enfant et à 35 ans, je suis évidemment beaucoup plus confiante dans ce que je fais avec mon bébé. J’ai attendu également 6 mois et demi avant de commencer l’endormissement autonome durant les réveils de nuit, mais avant cela, Charlie dormait avec moi.
a-t-elle déclaré à une internaute, affirmant que son bébé ne hurlait pas mais devait simplement retrouver le sommeil.
Une internaute qui tente de nuire à Silent Jill
Par la suite, c’est de vive voix qu’elle a pris la parole pour dire à ses abonnés ce que s’amusait à faire une internaute sur la Toile.
J’ai une abonnée qui m’a envoyé des screens de twitter où il y a une fille qui, je pense, des sérieux troubles mentaux. Elle vole mes stories, elle prend uniquement des petits passages pour essayer de me faire passer pour une mère odieuse qui laisse son enfant pleurer toute la nuit, qui maltraite son enfant. Elle fait toutes les influenceuses.
a-t-elle déclaré avant d’ajouter ne pas tolérer un tel comportement.
Je sais que vous allez me dire : mais Jill, il ne faut pas faire attention à ce genre de choses etc. » Alors oui, pour des commentaires, des messages privés un peu foufou, je veux bien, mais ici on est sur des faits qui sont extrêmement graves. C’est quelqu’un qui vole mes images, se les réapproprie, qui en utilise uniquement certains passages pour faire de l’incitation à la haine et pour provoquer une vague d’agressions verbales envers ma personne, ce qui est évidemment, totalement inadmissible.
Un comportement punissable
Pour Silent Jill, les créateurs de contenus ne doivent plus laisser passer de telles choses et dénoncer.
Je pense qu’aujourd’hui, en tant que créateur de contenus, nous ne pouvons plus accepter ce genre de situation. Ce n’est pas parce que nous produisons du contenu en ligne qu’on doit tout laisser faire et qu’on doit tout accepter.
Elle a également tenu à rappeler que ce que s’amusait à faire cette internaute était « punissable par la loi. »