Chaque être humain a une opinion propre et il semble tout simplement impossible que tout le monde s’accorde sur une seule et même idée. C’est bien ce que parvient à nous démontrer cette pandémie de Covid-19 qui, en plus d’avoir pris de nombreuses vies, sème la pagaille entre ceux qui croient en sa dangerosité et ceux qui ne le voient tout simplement pas.

Agacé, Christophe Dechavanne, qui a rapidement été vacciné dès que les premières doses étaient disponibles, a décidé de prendre la parole.

 Christophe Dechavanne © PHOTOPQR / LE REPUBLICAIN LORRAIN / Pascal BROCARD.
Christophe Dechavanne © PHOTOPQR / LE REPUBLICAIN LORRAIN / Pascal BROCARD.

Un comportement qui l’agace

C’est via son compte Twitter qu’il a décidé de s’exprimer. Il a commenté l’extrait d’une enquête de France Info qui est allé filmer le CHU de Martinique où le Covid-19 fait rage. Aux Antilles, le taux de vaccination est très faible. Les images édifiantes nous montrent alors un hôpital bondé de patients touchés par le Covid-19.

Un véritable défi pour les employés qui doivent difficilement trouver de la place pour les patients qui ne cessent d’affluer.

Christophe Dechavanne a alors écrit en légende :

Qui peut encore se permettre de dire que ceci est une mascarade... ou propagande… et donc faire en sorte que des gens qui les croient, qui les suivent naïvement même, vont mourir, ou tuer. Merde.

Mais alors que plusieurs internautes avaient apporté leur soutien à l’animateur, ce dernier a fini par supprimer son tweet posté le dimanche 15 août 2021. Se serait-il attiré les foudres des complotistes ?

Il faut dire qu’ils sont très virulents ces derniers temps.

Des manifestations qui choquent Christophe Dechavanne

En raison de la hausse des cas de Covid-19, notamment en raison du variant qui s’abat sur les Antilles, Emmanuel Macron avait étendu le pass sanitaire désormais obligatoire dans les cinémas, les musées, les transports, les centres commerciaux mais aussi les restaurants.

Les antivax n’ont alors pas hésité à manifester, parlant d’état mafia, allant jusqu’à s’en prendre à un pharmacien réalisant des tests de dépistage. Ils sont allés jusqu'à le traiter de « collabo ».

Ma mère m'a raconté ce qu'était la collaboration pendant la guerre. Mon oncle, son frère (résistant) fut le dernier tué à Marseille, une jolie impasse porte son nom, il avait 23 piges. J'avoue qu'entendre et voir les images ici me laisse…pantois…au mieux.

A déclaré Christophe Dechavanne en commentant la vidéo de Midi Libre Montpellier

Quelque chose nous dit que monsieur Dechavanne n’a pas fini de pousser des coups de gueule.