Elle qui aime tant la France sera sur nos écrans dès le 17 septembre. En effet, Dita von Teese, célèbre effeuilleuse et pin-up américaine, va participer à l’édition française de Danse avec les Stars.
Elle a donc accepté de répondre aux questions d’un média français, Gala, depuis Los Angeles où elle se trouve pour le moment. Et si la reine du burlesque ne jure que par le pain et le fromage, il semblerait qu’une autre spécialité française lui ait laissé un goût amer. Elle a en effet goûté à l’amour à la française et a manifestement peu apprécié l’expérience.
"J'assistais aux scènes qu'ils me faisaient"
À la suite de son mariage avec Marilyn Manson, Dita von Teese a fréquenté le comédien français Jérémy Elkaïm puis Louis-Marie de Castelbajac, fils du célèbre couturier. Des romances qui l’ont plus fatiguée qu’autre chose si on en croit les mots de la jeune femme :
J'ai eu des histoires, jamais relayées par la presse, avec des acteurs français très célèbres et, mon dieu, il y a tellement de "drama"...
Invitée à développer, Dita von Teese a accepté de bon coeur :
J'assistais aux scènes qu'ils me faisaient et, avec la barrière de la langue, c'est comme si j'étais en train de regarder une pièce de théâtre... Ils étaient totalement amoureux et impossibles à calmer. Nous verrons si ma perception change à l’avenir.
Dita von Teese désormais casée
En tout cas, même si elle ne ferme pas la porte à une évolution de son opinion, la reine du burlesque semble en avoir eu assez des Français et de leur sens de la mise en scène. Depuis 2014, elle file le parfait amour avec un graphiste de Disney, un certain Adam Rajcevich.
Ce dernier comprend et accepte que sa bien-aimée gagne sa vie en dévoilant son corps, une problématique que certains des ex de Dita von Teese lui ont reproché :
On m'a déjà dit : "Je suis jaloux que tout le monde puisse voir ton corps". Dans la vraie vie, je ne suis pas exhibitionniste. Et je suis fidèle, Dita von Teese a-t-elle assuré. Un homme qui me confond avec mon personnage manque de maturité. C'est rédhibitoire.