Enora Malagré se bat maintenant depuis des années contre l’endométriose. Une "saloperie de maladie", comme elle le dit elle-même, qui l’empêche – tout comme un certain nombre de femmes - de goûter à la maternité. Malgré tout, la chroniqueuse ne perd pas espoir.
Certes, elle est “toujours malade”. Néanmoins, celle qui est récemment revenue sur sa collaboration avec Sébastien Cauet entend bien devenir mère. Et ce, quitte à recourir à l’adoption si toutes les solutions sont épuisées.
“Nous ne valons pas moins que nos amies mamans”
En attendant, la quadragénaire a tenu à adresser un message fort et touchant à toutes les femmes qui, comme elle, n’ont pas d'enfants, et ce choix, par choix ou pas. C’est notamment sur son compte Instagram, ce dimanche 21 janvier 2024, qu’elle l’a publié. Un texte plein de tendresse et de solidarité.
Enora Malagré a commencé son post par :
Pour celles qui n’ont pas d’enfants. Par choix ou n’y parviennent pas. Nous ne sommes pas représentées (j’essaie modestement, en me sentant bien seule...), ni sur les réseaux ni dans les médias – mais nous sommes bien là. Nous ne valons pas moins que nos amies mamans, nous avons tout autant à transmettre. Tout autant à dire.
Et d’ajouter :
Nous ne sommes pas défaillantes. Nous ne sommes pas à part. Nous sommes fortes et libres. Respirons et regardons nous , nous les femmes sans enfants… nous sommes tout aussi puissantes. Je pense à vous. Je pense à nous. Je vous embrasse. Nous sommes fabuleuses.
Enora Malagré se confie sur son calvaire
Lors d’une interview exclusive accordée à Télé Star en octobre dernier, Enora Malagré a révélé les dessous de son combat contre l’endométriose, cette maladie gynécologique qui touche une femme sur dix et qui lui cause des souffrances insupportables.
La chroniqueuse a confié avoir tenté de se libérer de ce “fardeau” en écrivant son livre Un cri du ventre. Mais cela n’a réglé qu’une partie du problème. Pour l’heure, elle n’a d’autres choix que de prendre des pilules en permanence pour avoir un semblant de vie normale. Pourtant, le traitement est lourd et les effets secondaires sont nombreux.
À son plus grand regret, malgré toutes les recherches qui ont été faites, la médecine reste impuissante. Nul besoin d’évoquer le gouvernement qui n’a toujours pas alloué les fonds nécessaires pour faire avancer la situation. Et pourtant, il y a tout à faire, dit-elle. Il serait plus qu’important de récolter des fonds pour la recherche, sensibiliser les professionnels de santé. Cela permettrait de faire avancer considérablement les choses, car beaucoup de femmes sont mal diagnostiquées ou ignorées.