Maîtresse de cérémonie des César 2020, Florence Foresti continue d’enchaîner les apparitions publiques au fil des années. Et ce mercredi 29 janvier 2025, elle a foulé le tapis rouge de la Fashion Week Haute Couture de Paris. Comme à l’accoutumée, la célèbre humoriste a fait une entrée remarquée.

Cependant, sa présence au défilé Jean-Paul Gaultier se distingue des autres. Et pour cause, la comédienne de 51 ans est venue avec sa fille Toni à ses côtés. C’est la première fois qu’elle assiste à un tel événement avec son enfant. Alors forcément, les médias s’empressent de rapporter la nouvelle. On vous dit tout !

Florence Foresti et sa fille Toni plus complices que jamais

Voilà déjà plusieurs années que la productrice, qui a été interrogée en pleine rue par Adil Rami, file le parfait amour avec Alexandre Kominek. En juin 2022, elle a en effet officialisé sa relation avec l’humoriste. Avant cela, elle a été en couple le scénariste Xavier Maingon. Par ailleurs, la native de Vénissieux a été mariée à Jérôme Daran.

Florence Foresti avait aussi vécu une histoire d’amour avec le directeur artistique Julien Mairesse de 2006 à 2010. De leur relation est née Toni, âgée aujourd’hui de 17 ans. Et au défilé Jean-Paul Gaultier, elle est enfin apparue aux côtés de sa maman. Un premier tapis rouge qui fait grand bruit.

À cette occasion, la comédienne portait un magnifique costume au décolleté plongeant. Quant à Toni, elle avait opté pour un look simple, mais tendance et qui lui allait à ravir. Mère et fille ont pris la pose en se tenant la main. La vidéo partagée par le magazine Gala montre d’ailleurs leur belle complicité.  

"J'ai essayé de la rassurer"

Bien qu’elle souhaite préserver sa fille de sa célébrité, Florence Foresti s’est, de temps à autre, exprimée sur son rôle de mère et leur relation. Lors d’une interview, elle a notamment évoqué la vie d'une adolescente, qui n’est souvent pas facile.

Un ado, de base, il se sent mal. Et ça, je l'ai compris avec ma fille. Parce qu'elle est très belle, et ça ce n'est pas la maman qui parle... et je l'ai vue quand même être mal dans sa peau. Je me suis dit ok, c'est inhérent à l'adolescence. Donc ça aide à comprendre beaucoup de choses. Mais j'ai essayé de la rassurer parce que j'avais vécu quelque chose de bien pire.

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