À l’âge de 90 ans, Geneviève de Fontenay continue de faire parler d’elle. La nonagénaire est d’ailleurs bien connue pour son franc-parler. Celle qui ne porte pas dans son cœur Sylvie Tellier n’hésite pas à dire ce qu’elle pense. L’ancienne présidente du comité Miss France peut en témoigner. Dans le podcast LA Série, présenté par Laurent Argelier, la mère de Xavier et Ludovic Poirot ne s’est cependant pas étalée sur le sujet. Au cours de cet entretien, elle s’est notamment épanchée sur son quotidien à Saint-Cloud, près de Paris.
"Je peux tomber sur des abrutis"
Rares sont les confidences de Geneviève de Fontenay sur son histoire d’amour avec le regretté Louis Poirot. Face à Laurent Argelier, celle qui est en froid avec Nathalie Marquay a révélé qu’elle n’a pas pu refaire sa vie après le décès de son époux en 1981. Cette relation que l’organisatrice de concours de beauté entretenait avec son défunt mari a fait d’elle ce qu’elle est aujourd’hui. Depuis, elle a décidé de se concentrer sur sa famille.
Certains l’ignorent peut-être, mais la dame au chapeau noir ne sort que pour rendre visite à son fils Xavier et ses petites-filles Adèle et Agathe. Intrigué, le présentateur du podcast l’a interrogée à ce sujet. Selon ses propos, la nonagénaire se méfie des individus qu’elle peut croiser dans la rue.
Puisque je suis connue, je peux tomber sur des abrutis : 'Ah ben tiens, on va se la faire, on va s’occuper d’elle'. J’aurais très peur.
Geneviève de Fontenay évoque sa fin de vie
L’ex-directrice de Miss France a aussi laissé entendre qu’elle serait victime de sa notoriété. C’est une autre raison qui la pousse à rester chez elle. Apparemment, la nonagénaire n’en peut plus de se faire aborder dans la rue par les passants, dont le seul but est de faire des selfies. Celle qui a taclé Mareva Galanter préfère donc éviter de mettre les pieds dehors. D’autant plus qu’elle souhaite quitter paisiblement ce monde dans sa demeure.
Puisque je ne sors plus, c’est sûr que je mourrai ici. Les gens me connaissent, alors dès que je suis dehors, on veut faire des photos avec moi. Mais j’en ai fait assez. Et puis, quand je vois tout ce qui se passe maintenant dans les rues, on prend des risques.