Grand nom du cinéma français, Guillaume Canet est aussi un père de famille comblé. Le compagnon de Marion Cotillard a accueilli son fils Marcel le 19 mai 2011, avant que Louise ne pointe le bout de son nez le 10 mars 2017.
Si l’acteur adore le cinéma et aime ses enfants plus que tout, c’est non sans une certaine anxiété qu’il a mêlé ces deux aspects de sa vie dans Ad Vitam. Le prochain long-métrage de Rodolphe Lauga, disponible à partir du 10 janvier 2025 sur Netflix, voit Guillaume Canet partager l’affiche avec son fils.
Guillaume Canet, un père vigilant
Ce samedi 4 janvier, dans l’émission 50’Inside sur TF1, il s’est confié à ce sujet auprès d’Isabelle Ithurburu.
« On surveille ça de près car on sait que c’est un peu jeune pour démarrer. » a-t-il confié, faisant référence à son fils, déjà apparu dans Astérix et Obélix : L’Empire du Milieu en 2023.
Si Guillaume Canet qualifie de « formidable » ce moment de tournage partagé avec son enfant, il admet que cela a aussi été « extrêmement stressant ».
Mais il en avait très envie. À partir du moment où il en a envie, on est bien obligé de mettre le pied à l’étrier. Et je préférais autant que ça se passe avec moi.
Si le comédien s’inquiète pour son fils, c’est avant tout parce qu’il connaît très bien le milieu du septième art. Lui-même y évolue depuis plus de 25 ans. Il décrit ce métier comme « très difficile », demandant une grande capacité de remise en question.
« Il y a des moments où on se prend des seaux de merde, on peut le dire. Ça peut être des fois dur à encaisser. » a-t-il avoué.
Cependant, il se dit confiant pour son fils, qu’il considère « à la bonne école ».
Il a des parents qui ont la tête sur les épaules. On vit comme des gens normaux, donc c’est la meilleure école pour lui, je pense.
L’inconvénient d’être fils de...
Si le petit Marcel décide de suivre les traces de son père, il devra affronter des critiques sans doute plus dures à son égard. En effet, l’attente sera plus forte en raison de sa filiation, selon son célèbre père.
Ça peut être plutôt un inconvénient parce qu’il peut y avoir une attente très forte de la part des gens. Et puis, ce n’est pas certain qu’il aura envie de faire ça non plus, toujours. Là, je pense que ça l’amuse, mais il aura sûrement et peut-être envie de faire autre chose, et tant mieux. Quoi qu’il fasse, à partir du moment où il est heureux, c’est le principal.
Guillaume Canet laisse donc son garçon vivre sa vie en fonction de ses envies. Il faut dire qu’à 13 ans, le petit Marcel est encore bien jeune et a le temps de décider si la voie professionnelle empruntée par ses parents est également la sienne.