Guillaume Genton est en colère et le fait savoir. C'est sur ses réseaux sociaux qu'il a choisi de régler ses comptes avec un ancien chroniqueur de Touche pas à mon poste.

Guillaume Genton en colère

Ce mercredi 1er janvier 2025, le jeune homme a pris la parole sur son compte Instagram pour partager un communiqué. Dans son viseur, son ancien collègue, Nicolas Pernikoff.

Ainsi, on peut lire dans un premier temps :

Deux ans après avoir attaqué la société La Nouvelle détenue par M. Nicolas Pernikoff au sujet de factures impayées depuis 2021 pour un montant total de 165 520, 71 euros, le Groupe Genton n'a toujours perçu le moindre centime. Cette situation grave met en péril nos Sociétés et leurs Salariés. C'est avec stupeur que nous avons découvert que Nicolas Pernikoff avait escroqué au total plus d’une soixantaine de Sociétés et Prestataires, qui n'ont jamais été réglés. 

Et de poursuivre :

Nous nous étonnons également du fait que le service public, France Télévisions, et la chaîne @servicePresseF5, continuent de confier la production de programmes (Silence ça pousse) à une entreprise dont le dirigeant pratique, sans vergogne, l'escroquerie et l'abus de confiance. Ces programmes sont produits avec des centaines de milliers d’euros volés à des prestataires, et M. Nicolas Pernikoff est protégé par une Justice qui donne raison aux voleurs, et pénalise les honnêtes gens. 

Guillaume Genton s'est également rendu sur la page Instagram de Nicolas Pernikoff, où il a écrit sous plusieurs publications : “Rends l’argent.”

Des accusations démenties par Nicolas Pernikoff

En septembre dernier déjà, Guillaume Genton portait de graves accusations contre le producteur. “Le groupe Genton attaque les sociétés détenues par Nicolas Pernikoff pour non-paiement d’une facture globale de 165 520,71 euros TTC”, avait-il indiqué à l'époque sur sa page Instagram.

Des propos auxquels Nicolas Pernikoff n'avait pas manqué de répondre, via un communiqué dévoilé par Jean-Marc Morandini. “Nicolas Pernikoff dément formellement les propos mensongers et dénigrants de Monsieur Genton et entend rétablir la réalité des faits,” avait-il précisé.

Et de préciser :

Il est donc surprenant qu’ainsi informés, la société Blondinet et M. Genton imaginent pouvoir utiliser des communiqués de presse agressifs pour bénéficier d’un traitement particulier sans se plier à la discipline collective qu’impose la loi.

Il avait également ajouté se réserver “le droit d’agir en justice contre M. Genton pour ses tentatives de dénigrement ayant pour seul objectif de nuire à la société, ses salariés et aux autres créanciers.” Réagira-t-il à ces nouvelles accusations ?

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