Deux mois seulement après la mort de Johnny Hallyday, survenue dans la nuit du 5 au 6 décembre 2017, la France découvre que sa fille aînée, Laura Smet, conteste son testament. David Hallyday, son demi-frère, est nommé « codemandeur » de la procédure juridique. Et dès lors, tous les coups sont permis : des documents confidentiels ont été révélés comme la teneur des SMS échangés entre Laura, David et Laeticia avant la mort de Johnny Hallyday ou des petites piques sont adressées en public par l'actrice de 34 ans à l'égard de sa belle-mère.
David Hallyday, lui, a décidé de se retrancher dans son studio et se contente de penser à son défunt père en lui rendant hommage sur scène, comme ce 10 mars, lors d'un concert au casino de Pougues-les-Eaux.
David Hallyday ne "pouvait pas laisser" Laura Smet "partir seule au front", mais...
Visiblement attristé par la tournure que prennent ses relations familiales, David Hallyday n'hésite pas à prendre la défense de ses deux petites sœurs, Jade et Joy, qui souffrent par exemple d'insultes racistes.
Et d'après les dernières confidences d'un proche, retranscrites dans le magazine Paris Match, David Hallyday ne voulait pas que tout cela aille aussi loin.
Il s'est retrouvé embarqué dans cette histoire sordide d'héritage un peu malgré lui. Quand Laura l'a informé de sa démarche judiciaire, fin janvier, il ne pouvait décemment pas la laisser partir seule au front contre Laeticia. Il a donc décidé de l'accompagner dans son combat, mais il aurait souhaité que cela ne soit pas aussi médiatisé.
Peut-on lire dans les colonnes de l'hebdomadaire.
Ce jeudi 15 mars, aura lieu une première audience au tribunal de grande instance de Nanterre. Laura Smet et David Hallyday réclament de "pouvoir se prononcer sur ce projet d'album d'enregistrements posthumes de Jean-Philippe Smet", selon le document consulté par l'AFP. Mais ils demandent également le gel de tout le patrimoine de leur père dans l’attente que le litige sur son héritage soit réglé.