Ce mercredi 6 novembre 2024, Iris Mittenaere s’est présentée au tribunal pour le procès de son ex-compagnon, entourée de ses proches. Pour rappel, en septembre dernier, Voici et Le Parisien avaient révélé que Bruno Pelat avait été placé en garde à vue pour « violences ayant entraîné une incapacité temporaire de travail (ITT) n’excédant pas huit jours ».
Quelques heures avant ces révélations, la reine de beauté était apparue au défilé Etam avec une attelle à la main. Bien qu’hésitante, elle avait fini par porter plainte contre l'héritier de 22 ans.
Le Parisien avait également indiqué que la plainte détaillait des violences présumées survenues dans la nuit du 23 au 24 septembre, lorsque Bruno Pelat aurait frappé la tête de son ex-compagne contre un mur et menacé de « lui faire perdre » ses contrats.
Un procès très attendu
Initialement, Bruno Pelat devait être jugé en comparution immédiate, mais l’avocate d’Iris Mittenaere a obtenu un report de l’audience, car sa cliente ne se sentait pas encore prête, psychologiquement, à témoigner. Placé sous contrôle judiciaire, le fils d’un magnat de l’immobilier s’est vu interdire « d’entrer en contact de quelque manière que ce soit, y compris par les réseaux sociaux, avec la victime ».
Le procès a finalement débuté ce 6 novembre 2024 au tribunal correctionnel de Paris. Iris Mittenaere était accompagnée de sa mère, de son beau-père et de sa sœur. D’après les informations de TV Mag du Figaro, la présidente a résumé les faits reprochés durant l’audience, révélant que l’ancienne Miss France aurait été victime de violences entre le 12 juin et le 24 septembre. Toujours selon nos confrères, Bruno Pelat aurait exercé des violences sur elle en « lui portant des coups, en lui frappant la tête contre le mur, en lui tirant le bras et en la menaçant de faire sauter ses contrats et de faire licencier son père ».
Les violences physiques auraient également été accompagnées d’insultes telles que : « Connasse, grosse merde, t’es débile, t’es folle ».
Iris Mittenaere obtient une audience à huis clos
Suite à ce récapitulatif des faits, l’avocate d’Iris Mittenaere a demandé la tenue de l’audience à huis clos. Elle a souligné l’aspect médiatique de l’affaire, précisant que des « faits très personnels allaient être évoqués » et que cela « pourrait entraver la liberté de parole » de sa cliente. Elle a ajouté qu’Iris Mittenaere souhaitait également protéger les relations qu’elle entretient avec certaines personnes citées dans la procédure.
Bien que le procureur et l’avocat de Bruno Pelat, qui a déclaré se sentir « accusé injustement », se soient opposés à cette demande, la présidente a accepté. Cette décision a ému Iris Mittenaere, qui a fondu en larmes, soulagée d’avoir été comprise.
Une note vocale de Diego El Glaoui ?
Avant de rencontrer Bruno Pelat, Iris Mittenaere avait eu une longue relation avec Diego El Glaoui, de 2019 à 2023. Toujours associés professionnellement dans le cadre d’une marque, ils continuent d’échanger.
Avant l’annonce du huis clos, obligeant les journalistes à quitter la salle, l’avocat de l’accusé a affirmé posséder un élément de preuve : une note audio de Diego El Glaoui. Selon lui, cette note contiendrait des propos dans lesquels Diego reprocherait « à Iris de l'accuser à tort de violences conjugales »
Affaire à suivre…