La beauté d’Iris Mittenaere est tout simplement indéniable. Ce n’est pas pour rien que la jeune femme a deux titres de beauté très prestigieux, celui de Miss France et de Miss Univers 2016. Suivie par plus de 2,6 millions de personnes sur Instagram, il n’y a pas de doute, la jolie brune fait rêver.
Pourtant, cela n’a pas toujours été le cas. Plus jeune, elle a été victime des brimades de ses camarades de classe. Ce harcèlement scolaire a marqué cette dernière au fer rouge. La compagne de Diego El Glaoui a bien voulu revenir sur cette période difficile pour l’émission C à Vous d’Anne-Elisabeth Lemoine ce jeudi 11 mars 2021.
Une expérience qui a marqué la jeune femme
Ambassadrice de Visions du monde, si Iris Mittenaere est aussi engagée c’est qu’elle n’a pas connu un parcours scolaire des plus faciles en raison de ses camarades parfois très mauvais envers elle. Victime de harcèlement scolaire, elle a déclaré :
Je pense que c'est une blessure que j'ai gardée très longtemps, encore aujourd'hui je ne peux pas dire que je suis complètement guérie, ça a été très dur quand j'étais petite, j'ai eu la chance d'être très bien entourée, d'avoir maman, donc j'en ai très vite parlé.
Malheureusement, elle ne peut que constater que la situation est loin d’avoir évolué. Désormais, le cyber-harcèlement est également très répandu.
On en parlait très peu à l'époque, aujourd'hui j'ai l'impression que malheureusement c'est en train d'augmenter, maintenant on passe au cyber-harcèlement c'est encore plus compliqué. Je pense qu'il faut en parler pour se faire aider, mais il faut surtout en parler aux agresseurs, parce qu'ils ne se rendent pas forcément compte de ce qu'ils font, c'est souvent des bandes de copains, ils font ça entre eux, ils pensent qu'ils sont cool.
Elle souhaite donc « sensibiliser » les jeunes à ce fléau.
Ces surnoms dégradants auxquels elle a eu droit
En 2019, Iris Mittenaere revenait déjà sur le harcèlement scolaire dont elle a été victime. C’est pour La Boite à secrets qu’elle avait bien voulu dévoiler quelques surnoms que pouvaient lui donner ses camarades.
On me donnait des surnoms un peu plus difficiles. Libellule c’était le surnom un peu plus joli que me donnait ma maman. Moi, mon surnom c’était cloute, le féminin du clou. (...) A l’école c’était plutôt pique à brochette.
Ces titres de beauté sont donc une belle revanche sur la vie.