Les lois s'appliquent à chaque citoyen. Une évidence dont se souviendra Jean-Jacques Bourdin, depuis qu'il s'est fait arrêter pour excès de vitesse le 24 mai dernier. Comme l'a rapporté le site La Montagne, le journaliste de BFMTV a été contrôlé par les gendarmes du peloton motorisé sur une route du Cantal. Circulant à plus de 50 km/h au dessus de la vitesse autorisée, l'homme de 70 ans a immédiatement écopé d'une rétention administrative du permis de conduire en plus d'une amende de 135 euros.
La divulgation de cette information a fortement contrarié son épouse, Anne Nivat. Cette dernière a en effet dénoncé l'hypothèse d'un complot contre son mari, qui s'était déjà justifié auprès de ses détracteurs.
Le coup de gueule d'Anne Nivat
La maman de leur petit Louis s'est donc empressée de prendre la défense de Jean-Jacques Bourdin sur Twitter :
Sur autoroute, un conducteur commet un excès de vitesse, le reconnaît et signe son PV. Ça arrive tous les jours sans sortir dans les médias. Quand c'est Jean-Jacques Bourdin, La Montagne se jette sur l'info. Qui l'a fuitée ? Le sous-off qui a verbalisé ? Honte à eux deux, attention à la diffamation.
Selon la journaliste de 50 ans, tout ceci ne serait qu'un "coup de buzz" organisé par la presse locale. Bien qu'elle admette que son époux a enfreint les lois, Anne Nivat estime que l'infraction aurait dû néanmoins être maintenue secrète :
La vérité, c'est que le grand public se repaît de l'intimité de ceux qu'il aime ou déteste. C'est ainsi la notoriété. Il y a deux faits : Jean-Jacques Bourdin a roulé trop vite, comme ça peut arriver à beaucoup de Français et cela a été dûment sanctionné. Quelqu'un a sorti l'info pour nuire et se faire mousser.