À l'instar de son père, l'idole des jeunes, et de sa mère, Sylvie Vartan, David Hallyday a choisi d'évoluer dans la musique. Dès son enfance, il apprend à jouer de la batterie, de la guitare et du piano. En 1988, il sort son tout premier album, en anglais. Le fils de Johnny Hallyday se démarque et en vend 900 000 exemplaires.
Mais ce succès a éveillé dans l'esprit du rockeur des sentiments pour le moins contradictoires...
Johnny "complètement bluffé par David" mais...
Dans un entretien accordé à nos confrères de Gala ce 4 avril, l'ex-épouse du défunt chanteur et mère de David Hallyday aborde la jalousie mais aussi la fierté ressenties par Johnny Hallyday face au succès de son aîné.
Il était complètement bluffé par David, il était très fier de lui mais, en même temps, il ne fallait pas lui faire de l'ombre.
Selon Sylvie Vartan, c'est donc « possible » qu'il ait ressenti une once de jalousie pour David « mais il ne l'a jamais montré ».
Le père avait pourtant tenu des propos très durs concernant son fils dans la biographie Dans mes yeux écrite par Amanda Sthers en 2013.
Le problème de David, c'est ceux qu'il n'a pas eus. Il a été heureux. (...) On ne peut pas être élevé dans le confort et avoir la rage au ventre. Je ne crois pas aux fils à papa qui réussissent. Il faut en avoir bavé (...) Alors, David ne sait pas vraiment quoi faire de son talent.
Avait alors déclaré le Taulier.
Pourtant David Hallyday a toujours tout fait pour rendre son père fier de lui, malgré son absence. Il lui a récemment rendu un ultime hommage en composant une chanson sous forme de lettre qu'il aurait pu lui écrire...