Encore un nouveau retour de bâton pour Laeticia Hallyday. En effet, depuis la contestation du testament du Taulier par ses deux aînés, l'image et l'attitude de la veuve sont sujettes à de nombreuses critiques négatives.
La veille de l'audience du 28 mars dernier au Tribunal de Grande Instance de Nanterre, le site Gala.fr publiait que la mère de Jade et Joy était forcée de réduire son train de vie. Elle se "serait même séparée de DGM, le cabinet de communication qui la conseillait, puis de Laurence Favalelli, son agente", à la fin de l'année dernière.
Droit de réponse de l'ex-agente
Toutefois, Laurence Favalelli a démenti cette dernière information par l'intermédiaire de son avocat, Maître Pascal-Pierre Garbarini :
En réplique à l'article publié le 28 mars 2019 intitulé "Laeticia Hallyday contrainte de réduire son train de vie : son lucratif joker - LA VEUVE DE JOHNNY N'A PAS ABATTU SA DERNIÈRE CARTE", Mme Laurence Favalelli conteste fermement cette présentation des faits et entend rétablir la vérité. Il est indiqué que Mme Laeticia Hallyday se serait séparée de son agente fin 2018, séparation présentée comme résultant de difficultés financières qu'aurait à connaître Mme Laeticia Hallyday. Cette présentation est erronée.
De son côté, Gala.fr a publié son droit de réponse le 9 avril 2019. Le document précise que c'est l'attitude de la meilleure amie d'Hélène Darroze qui aurait poussé son employée a présenté sa démission :
Mme Laurence Favalelli a décidé de mettre fin à sa collaboration très récemment avec Mme Laeticia Hallyday en raison des agissements fautifs et répétés de cette dernière.
Le site d'infos people explique également qu'après avoir été l'assistante de Sébastien Farran, Laurence Favalelli a remplacé Anne-Sophie Aparis dans la gestion des relations publiques de Laeticia Hallyday. Elle a de plus participé à l'organisation de l'hommage populaire rendu à L'Idole des Jeunes et accompagné sa veuve lors de la promotion de l'album posthume, Mon Pays, C'est l'Amour.
Contacté par Gala, Me Pascal-Pierre Garbarini a souligné que sa cliente, qui n'a signé aucune clause de confidentialité avec son ancienne patronne, se réserve le droit de s'exprimer plus longuement à l'avenir. Seulement, pour l'instant, elle préfère ne pas livrer plus de détails concernant "les agissements fautifs et répétés" qu'elle mentionne dans son droit de réponse.