Connue pour ne pas avoir sa langue dans sa poche, Laurence Boccoloni a toujours mis un point d'honneur à se faire entendre. Seulement, certaines de ses prises de position lui ont valu de nombreuses critiques qui l'ont poussée à supprimer ses comptes Facebook et Twitter. Si elle a choisi de conserver son compte Instagram, la maman de la petite Williow évoquait cependant récemment son envie d'également le clôturer :
Plus de Twitter, plus de Facebook, je gardais Instagram parce que c'est tellement plus intéressant, bienveillant, et on peut y suivre tant de choses. Mais s'il n'y a pas un peu de bon sens derrière tout ça, il faudra aussi que je ferme mon dernier compte sur les réseaux sociaux.
Laurence Boccolini en colère
Si l'animatrice de Money Drop hésitait encore à l'idée de quitter les réseaux sociaux, la nouvelle polémique créée à la suite de l'une de ses publications devrait rapidement l'aider à se décider.
Il y a quelques jours, elle publiait le cliché d'un couple de commerçants - avec leur accord - souriants dans leur établissement, pour les remercier de continuer à exercer leur travail malgré la pandémie de covid-19. Une post qui a été très mal accueilli par les internautes, qui ont reproché au couple le non-port du masque.
Au vu des nombreux messages négatifs, Laurence Boccolini a pris la décision de supprimer la photo et l'a remplacée par celle d'un couple d'inséparables, ces oiseaux grégaires africains réputés pour demeurer en couples extrêmement liés. Et la légende qui l'accompagne en dit long sur la lassitude de Laurence Boccolini vis-à-vis du comportement des internautes :
Voilà, j'ai enlevé la photo de ce jeune couple adorable, qui porte leurs masques toute la journée pour faire vivre leur petit commerce où des clients très souvent sans masques et sans gants ne respectant pas le confinement, eux, ne se font pas pourrir sur mon mur !!! La boutique était vide, ils ont enlevé leurs masques pour sourire à l'objectif… Une seconde. Je voulais saluer leur gentillesse et leur courage et j'ai lu des flots de leçons de morale, de mots violents, de rappels à l'ordre comme si nous n'étions pas au courant (…). Désolée pour eux mais pas envie qu'ils aient à lire tout ça. (…) Certains ont besoin de déverser leur fiel sur d'autres et c'est bien triste.