Les programmes qui ont fait les belles heures de la télé-réalité ont actuellement la cote. Alors que la dernière saison de Secret Story vient de s’achever et que Les Anges pourraient bien faire leur retour sur le petit écran, TF1 a décidé de relancer la Star Academy à l’antenne. En 2022, les téléspectateurs ont pu suivre le parcours de treize nouveaux élèves, tous désireux de connaître le destin de Jenifer ou de Nolwenn Leroy. Et de nombreux talents ont émergé de cette promotion, comme Louis Albi, Stanislas Souffoy-Rittner, ou encore la grande gagnante Anisha Jo.

Lors de la diffusion, une autre élève s’était également démarquée. Il s’agit de Léa Haddad, la grande gueule de l’émission, dont les lacunes en ce qui concerne les grands noms de la scène française lui avaient valu quelques moqueries. Mais si elle a beaucoup amusé les internautes, certaines de ses sorties ont fait grincer des dents.

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Léa Haddad @ Star Academy 10/TF1

Après son élimination, la finaliste du télé-crochet avait signé un contrat avec Indifférence Prod. Cependant, elle révélait en novembre dernier avoir mis un terme à sa collaboration avec le label, évoquant des relations qui se sont détériorées.

Une personnalité qui dérange ?

Dernièrement, la jeune femme de 26 ans était l’invitée de Sam Zirah, dans son émission En toute intimité, diffusée sur YouTube. Celle qui vient de dire "oui" à l’homme de sa vie en a profité pour aborder divers sujets, tels que sa nouvelle vie de femme mariée ou encore sa fausse couche, survenue au bout de trois mois de grossesse.

Le blogueur l’a également interrogée sur la dernière promotion de la Star Academy, qu’elle juge trop lisse. "C’est ce qui marche, ce que les Français aiment. En France, les gens n'aiment pas trop les personnes qui sortent de l'ordinaire. Ils préfèrent les gens lisses. (…) Dans le monde de la télé, tu es obligé de rentrer dans des codes", a-t-elle déclaré.

Pour appuyer ses propos, Léa a révélé que quatre candidats de la promo 2023, Axel, Candice, Djebril et Lénie, s’étaient désabonnés de son compte Instagram du jour au lendemain. Une décision qu’elle ne s’explique pas vraiment. "Je n'ai pas compris. Parce qu'en plus je les ai soutenus, dans mon canal Instagram, j'ai grave parlé d'eux. Djebril, je ne faisais que le saucer sur mes stories", a-t-elle déploré.

Après mûre réflexion, elle en a déduit que les jeunes artistes auraient tout simplement été influencés :

Je me suis mise une idée en tête : soit une artiste leur a dit clairement, car cette artiste-là m'avait dit à l'époque, je ne peux pas dire le nom : "Vous savez si vous suivez telle personne, ça met une tâche à votre image". (…) On m'avait dit à l'époque, si tu suis Magali Berdah ou untel, c'est mauvais pour ton image.

A-t-elle expliqué.

Une consigne imposée par Vitaa ?

Curieux, Sam Zirah a alors voulu savoir à quelle artiste Léa faisait référence et le nom de Vitaa a finalement été avancé. La chanteuse a été choisie pour être la marraine de la promotion 2023 :

Ça peut être faux mais c’est mon idée. Ou peut-être pas elle, peut-être des gens qui bossent avec elle.

A toutefois nuancé l’ancienne acolyte de Tianaa.

Lors de la diffusion de la onzième saison de la Star Academy, Léa s’était fait recadrer par Saïd Boussif, le manager de Vitaa, qui n’avait pas apprécié qu’elle soit d’accord avec un internaute, qui critiquait les choix de parrain et marraine de l’émission :

Chère Léa Haddad, force est de constater que n'ayant ni carrière, ni son, cela laisse forcément le temps à l'aigreur ! Je te souhaite, ne serait-ce qu'1% de leurs succès. Ce n'est pas beau de cracher dans la soupe.

Pour rappel, Saïd Boussif a brièvement été le manager de Léa Haddad, lorsque son contrat la liait encore à Indifférence Prod.