C'est une Line Renaud bouleversante qui s'est confiée devant les caméras de Sept à huit. Un entretien mené par Audrey Crespo-Mara et diffusé ce dimanche 25 octobre 2020.
La mort de Johnny Hallyday ? "C'est un suicide"
Ainsi, la comédienne âgée de 92 ans s'est confiée sans détour. Elle est notamment revenue sur la mort de Johnny Hallyday. Ce dernier n'avait que 16 ans quand elle l'a connu pour la première fois. Une rencontre qui a donné lieu à une amitié de plus de 50 ans. Malheureusement, cette amitié a pris fin à la mort du chanteur, en décembre 2017.
Près de trois ans plus tard, Line Renaud est toujours aussi bouleversée par la perte du chanteur. A Audrey Crespo-Mara, elle confie : "il était trop jeune".
Et d'ajouter :
Mais c'est un suicide Johnny, c'est un suicide... Il a bu toute sa vie, il a fumé, il allumait les cigarettes les unes derrière les autres, elle était à peine éteinte qu'il en rallumait une, c'est un suicide !
Le chagrin causé par la perte de Johnny Hallyday est toujours aussi grand. On se souvient qu'à l'époque, la comédienne avait confié : "j’aurais dû mourir avant toi". Des propos qui n'ont pas manqué de faire réagir Audrey Crespo-Mara. En effet, la journaliste n'a pas hésité à interroger Line Renaud sur "le droit de mourir dans la dignité". Des propos qui ont fait réagir la comédienne.
"Quand on souffre, on part mais la vie est belle !"
Ainsi, Line Renaud a avoué avoir indiqué, dans son testament, ne pas vouloir "qu'on prolonge inutilement". Une confidence que la comédienne a immédiatement expliquée :
Quand on est à la fin de sa vie : qu'on nous laisse partir, qu'on nous aide à partir ! Il faut nous aider à partir. Il faut, je le demande. Quand on souffre, on part mais la vie est belle !
Des confidences bouleversantes qui ont ému les téléspectateurs.
Line Renaud victime d'un AVC
Il y a quelques semaines, Line Renaud confiait avoir été victime d'un AVC au mois d'avril 2019. Pourtant, à l'époque, elle confiait avoir été hospitalisée suite à une mauvaise chute. Un mensonge sur lequel elle s'est confiée dans les colonnes de Paris Match :
J’ai eu peur qu’avec l’étiquette AVC collée sur le front, on ne me confie plus de rôles.
Un témoignage, là encore, plein de sincérité.