Les accusations contre Lomepal continuent. Tout récemment, une femme a porté plainte contre le rappeur pour viol. Notons que celui-ci avait déjà fait l’objet d’une première accusation il y a quatre ans.
Zoom sur l’affaire Lomepal
Lomepal, de son vrai nom, Antoine Valentinelli, a débuté sa carrière en 2010. Son premier album, Flip, est sorti en 2017, tandis que le dernier, Mauvais ordre, est disponible depuis 2022.
Mais alors que Lomepal rencontre un énorme succès, une accusation est venue entacher sa réputation, il y a quelques années. En effet, en 2020, une enquête visant le rappeur avait été ouverte après qu’une femme l’a accusé de viol. Cette personne faisait partie des connaissances du jeune homme. Et selon les informations reçues, les faits se seraient déroulés en 2017, à New York.
Les investigations ont été rendues publiques l’année dernière, durant l’été 2023. Ainsi, le principal concerné a tenu à s’exprimer sur le sujet. Il avait nié les faits en publiant sur son compte Instagram, en août de la même année :
Est-ce que j'ai forcé qui que ce soit à faire quoi que ce soit ? Non. Est-ce qu'il y a eu des choses illégales ? Non. Et je ne le laisserai jamais dire.
Une deuxième femme porte plainte contre le rappeur
Alors que la justice tente de résoudre cette affaire, le rappeur a, de nouveau, été accusé pour viol. Effectivement, une deuxième femme a porté plainte contre l’interprète de Trop beau, en décembre dernier. Celle-ci a dénoncé une agression sexuelle qui aurait eu lieu en 2018, en France.
Cette présumée agression se serait déroulée dans le domicile de la plaignante. Dans le cadre de l’enquête, Lomepal aurait été convoqué le mardi 27 février dernier. Il aurait été placé en garde à vue dans les locaux du 3e district de la police judiciaire de Paris. Le lendemain même, la star du rap aurait été libérée, d’après une source proche de l’affaire.
Ses avocates, Mes Jacqueline Laffont et Julie Benedetti se sont confiées auprès de l’AFP à ce propos. Elles ont dit que Lomepal ne souhaite pas encore s’exprimer sur ces accusations pour l’heure. Le rappeur préfère laisser le dossier entre les mains de la justice. “Il a été entendu longuement, a pu répondre précisément et fournir des éléments matériels déterminants”, ont-elles ajouté.
Selon ses défenses, “la qualification pénale des faits allégués est largement sujette à débat”. Pour l’heure, l’enquête est toujours en cours et la suite, d’après elles, pourrait déterminer l’innocence du rappeur. Affaire à suivre…