C’était en décembre 2023. En colère contre Victoria Abril, qui n’avait pas hésité à signer une tribune de soutien à Gérard Depardieu, Lucie Lucas portait de graves accusations contre la comédienne.

"Tu veux qu'on parle de tes nombreuses agressions ?"

La jeune femme avait alors laissé éclater sa colère sur ses réseaux sociaux, où elle s’en prenait à celle qui incarnait sa mère dans la série Clem. “Hein Victoria… tu veux qu'on parle de tes nombreuses agressions, y compris sexuelles, envers tes partenaires ? À y réfléchir, je ne suis pas surprise que tu aies signé ce torchon… tu flippes toi aussi et à y réfléchir, tu as bien raison. Ça suffit le délire”, lâchait-elle.

Des déclarations qui ont fait couler beaucoup d’encre. Lucie Lucas s’était ensuite plus longuement expliquée à nos confrères de FranceInfo. “Les violences sexuelles dont je l'accuse n'ont pas été dirigées contre moi, mais ce sont des choses dont j'ai été témoin”, rapportait-elle dans un premier temps.

Avant de poursuivre :

Ce n'est pas Victoria Abril que j'ai envie d'accuser. J'ai eu cette espèce de montée de sang. Je me suis peut-être permis cela parce que c'est ma 'maman de cinéma' et que je me suis sentie profondément trahie et abandonnée. Ce que je voudrais dénoncer, c'est qu'il y a un sentiment d'impunité qui est total chez certaines personnes, notamment celles de la génération de Gérard Depardieu et Victoria Abril, qui se permettent de tyranniser des plateaux entiers et d'avoir des comportements qui ne sont pas admissibles.

À l’époque, Victoria Abril avait réagi par l’intermédiaire de son avocat, qui annonçait dans les colonnes de Libération que sa cliente allait "porter plainte en diffamation afin de pouvoir expliquer devant la justice".

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Lucie Lucas et Victoria Abril @TF1

Où en est l'affaire ?

Deux ans après, où en est cette affaire ? Interrogée par nos confrères de TéléLoisirs, Lucie Lucas, que l’on retrouvera le 24 février prochain dans deux épisodes inédits de Clem, confie : “Je suis complètement passée à autre chose. Ce que je peux dire, c'est qu'elle n'a pas porté plainte contre moi pour diffamation. Je vous laisse en tirer les conclusions.”

Voilà qui a le mérite d’être clair.