Son documentaire a fait énormément de bruit début 2021 et vient d’ailleurs de remporter un prix aux Assises du journalisme. Marie Portolano, journaliste sportive, a créé un documentaire intitulé Je ne suis pas une salope, je suis journaliste où elle évoque le harcèlement sexuel dans le monde des médias.
Un documentaire qui a notamment conduit au départ de Pierre Ménès du groupe Canal+.
Heureusement pour Marie Portolano, les faits graves reportés dans le documentaire qu’elle a elle-même subis ne l’ont pas empêchée de mener une belle carrière professionnelle.
Marie Portolano évoque sa relation avec son mari
Ainsi, dès le 7 octobre prochain, on pourra la retrouver à l’animation du Meilleur Pâtissier. Invitée dans le podcast de Télé-Loisirs, Femmes de Télé afin d’évoquer cette nouvelle aventure télévisuelle, Marie Portolano a bien voulu glisser quelques mots sur son compagnon, Grégoire Ludig.
Car celui qui est l’un des visages du Palmashow possède une belle popularité et une base solide de fans. Cela ne l’empêche, d’après la journaliste, de rester tout à fait humble. A tel point qu’elle en oublie d’ailleurs parfois qu’il est célèbre :
J'oublie qu'il est célèbre. Quand il y a eu le Covid, il a porté un masque, comme tout le monde dans la rue. Je ne me rendais pas compte que personne ne le reconnaissait. C'est lorsqu'on a pu enlever le masque dans la rue que je me suis souvenue qu'en fait, il était célèbre. C'est à ce moment-là que les gens se sont remis à l'alpaguer dans la rue.
"J'ai la chance d'avoir un mari célèbre mais qui n'est pas égocentrique"
Malgré le fait que les gens le reconnaissent et autres choses qui vont avec la célébrité, Grégoire Ludig n’impose pas pour autant sa vie comme seul sujet de conversation digne d’intérêt, bien au contraire :
J'ai la chance d'avoir un mari célèbre mais qui n'est pas égocentrique, donc c'est très agréable. Pendant à peu près 6 mois, je n'exagère pas, je n'ai parlé que de mon documentaire, de M6, de mon transfert, des émissions etc… à quelqu'un qui ne m'a pas dit à un moment donné 'bon, ça va ? ça suffit, on peut arrêter de toi maintenant ? On parle de moi ?'. Au contraire, il a compris que c'était un moment important dans ma vie professionnelle. Et il m’a accompagnée à mort.
La suite des confidences de la journaliste est à retrouver sur le podcast Femmes de télé directement.