Ce vendredi 26 novembre, Amazon Prime Vidéos met en ligne la série-documentaire sur Nabilla Benattia intitulée Nabilla : Sans Filtre. Les fans de l’influenceuse pourront alors en découvrir davantage sur son quotidien et plonger au cœur de son univers de maman mais aussi découvrir son mariage de rêve avec Thomas Vergara.
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A l’occasion de la sortie de cette série-documentaire, Nabilla Benattia a pu avoir un entretien avec Yann Barthès sur le plateau de Quotidien le 25 novembre 2021.
Nabilla explique son exil à Dubaï
C’est en 2019 que Nabilla Benattia et son compagnon Thomas Vergara décident de partir vivre à Dubaï quelques semaines seulement après avoir accueilli leur premier enfant, le petit Milann, le 11 octobre de cette même année.
Yann Barthès lui a alors demandé si son activité d’influenceuse lui rapportait beaucoup d’argent.
Le métier de l’influence ? Oui, beaucoup, beaucoup.
a-t-elle déclaré.
Voulant aller plus loin dans ses questions, le célèbre présentateur lui a alors demandé si elle se voyait à Dubaï dans 10 ans.
Peut-être pas.
a-t-elle alors répondu avant d’affirmer avoir voulu y aller pour la chaleur, la sécurité et la plage.
Yann Barthès a alors ajouté : « Et les impôts », ce à quoi elle a répondu :
Pas forcément. Après oui, c’est quelque chose qui n’est pas négligeable mais ce n’était pas le but premier. Je voulais un endroit pas trop loin de la France (...) et surtout la sécurité.
Blessée par une remarque sur Canal +
Invitée sur le plateau de La Nouvelle Edition sur Canal + au début de sa gloire, Nabilla a eu droit à la remarque suivante de la part d’un journaliste.
Vous n’avez pas fait le journal du hard, vous auriez peut-être dû commencer par là non ?
Si elle s’est alors vivement défendue sur le plateau, elle avoue aujourd’hui que les remarques du genre qu’elle ne cessait de recevoir, la touchait.
J'étais jeune. Je devais avoir 19, 20 ans. J'étais face à des personnes qui avaient de la culture et le double de mon âge. Dans cet extrait c'est assez violent il y a une forme de sexisme... Pas vis à vis de moi mais de la femme en général.
a-t-elle d’abord dit avant d’ajouter :
Quand je rentrais chez moi j’étais touchée, triste mais sur le coup je n’allais pas le montrer.