Nicolas Bedos a donné une interview à Madame Figaro dans leur dernier numéro paru le jeudi 18 mars. Le réalisateur du prochain volet de OSS 117 a bien voulu revenir sur les femmes qui ont marqué sa vie. Et à 41 ans, ce dernier en a connu plusieurs à commencer par Elsa Zylberstein, Helena Noguerra puis Pom Klementieff et Doria Tellier. Cette dernière relation a duré six ans.
Mais à en croire ses confidences, il est aisé de penser qu’il a également connu une histoire d’amour avec l’actrice Mélanie Laurent.
« J’ai honte… »
Nicolas Bedos a pour habitude de voir ses œuvres inspirées par des femmes. C’est ainsi que sa pièce Promenade de santé en 2010 a pour source d’inspiration Mélanie Laurent. Il est notamment revenu sur la phrase dite par l'actrice qui a provoqué un véritable électrochoc.
Je dois mon plus grand succès de théâtre à Mélanie Laurent qui vint me chercher dans un état déplorable dans une boîte de nuit à la mode, et me dit : 'J’ai honte d’avoir aimé si fort un type qui est devenu ça'
Mélanie Laurent n’est pas la seule à avoir su inspirer Nicolas Bedos. En effet, Doria Tellier est à l’origine même de son premier film Monsieur et Madame Adelman sorti en 2017.
On dînait chez Flo, je pestais sur le cinéma français, en critiquant tous les scénarios qu’on lui proposait. Elle m’a dit : 'Eh bien, fais-le toi. Écris-nous un truc !
En 2019, c’est son second film La Belle Époque qui a été récompensé du prix Meilleur scénario original et du Meilleur décor aux César.
La paternité ? Il passe son tour !
Si Nicolas Bedos n’a toujours pas d’enfant, c’est avant tout parce qu’il n’en veut pas. Eh oui, le réalisateur a expliqué son choix à nos confrères. Il souhaite « leur épargner un père distrait et névrosé ».
Il a par la suite ajouté :
Il faut avoir fait un peu la paix avec soi pour avoir des gosses. Mais peut-être que je me trompe, parce que plein d'histoires le démentent. Moi, par exemple, j'ai adoré mon père, et pourtant, mon père n'était pas un cadeau. En même temps, mettre des enfants au monde actuellement... Je ne parle pas du virus. Mais la moraline ! La moraline d'un côté, les fachos de l'autre...
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