Valéry Giscard d'Estaing, président de la République de 1974 à 1981 nous a quittés ce mercredi 2 décembre. Celui qui a marqué la politique française avec son mythique "Au revoir" avait été admis au mois de septembre dernier en réanimation en raison d'une infection aux poumons. Après avoir regagné son domicile, l'homme politique français avait à nouveau été admis à l’hôpital à la mi-novembre.
Son état de santé se serait petit à petit dégradé... D'après l'AFP, Valéry Giscard d'Estaing serait décédé "des suites du Covid-19, entouré de sa famille". Et le moins que l'on puisse dire, c'est que depuis l'annonce de son décès, les hommages pleuvent dans la sphère politique mais pas que. Nombreuses sont les célébrités à lui rendre également hommage.
Nicolas Bedos rend un hommage particulier à Valéry Giscard d'Estaing
Nicolas Bedos a, lui aussi, tenu à rendre hommage au troisième président de la République française. Mais bien entendu, Nicolas Bedos oblige, cet hommage s'avère bien particulier... Sur son post Instagram, le réalisateur n'a pas pu s'empêcher de faire référence à son père Guy Bedos, aujourd'hui décédé. Celui-ci a posté une photo de Valéry Giscard d'Estaing avec écrit "RIP" suivi du message suivant :
Allô Nicolas, c'est papa. Tu déconnes ou quoi ? On a tout fait pour qu'il dégage. Arrête Instagram.
Guy Bedos a longtemps été un farouche opposant à la politique menée par l'ancien président de la République. C'est donc en hommage à son père que Nicolas Bedos a fait ce petit clin d’œil ! Mais l'humoriste ne s'arrête pas là. Celui-ci a ensuite posté une autre photo, celle d'Emmanuel Macron avec la légende suivante :
Et dire qu'il n'avait que 94 ans...
Nicolas Bedos, un artiste révolté contre le gouvernement
Ce n'est un secret pour personne, Nicolas Bedos est particulièrement remonté contre le gouvernement actuel. Alors dès qu'il le peut, celui-ci n'hésite pas à se moquer du président de la République. La raison de sa colère ? La gestion de la crise du Covid-19. Plus révolté que jamais, Nicolas Bedos est même allé jusqu'à demander la démission du premier ministre, Jean Castex.