Avec la réforme des retraites et surtout une grève du personnel hospitalier qui dure depuis des mois, Agnès Buzyn, la ministre de la Santé est en première ligne des conflits sociaux qui agitent l'Hexagone. Elle n'avait sans doute pas besoin de passer par le stress intense de ce week-end.
Agnès Buzyn n'en parle pas en public
En effet, comme le révèle nos confrères de Closer, Alexandre, le fils d'Agnès Buzyn, s'est fait agresser dans la nuit du samedi 25 au dimanche 26 janvier. La ministre a été réveillée vers 2 heures du matin par un appel du commissariat du quartier latin. Peu avant, son fils venait alors d'être victime d'une attaque en pleine rue.
Une bande de cinq jeunes se sont rapprochés de lui, et lui ont dérobé son téléphone portable, un iPhone 8+. Sur le moment, il ne s'est rendu compte de rien. Revenant sur ses pas, il a retrouvé deux membres du groupe et a réussi à les immobiliser avec l'aide d'un vigile. Une fois la police arrivée sur place, impossible toutefois de retrouver le téléphone portable. Une jeune femme a ensuite signalé avoir été victime du même modus operandi. C'est au retour au commissariat ensuite, pour prendre la déposition du fils de la ministre, que le coup de fil a été passé.
Agnès Buzyn a fait le choix de ne pas parler de cet incident dans les médias. Invitée du Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro, elle a préféré annoncer son intention de s'investir plus dans la capitale. Elle pourrait se lancer dans la campagne des municipales aux côtés de Benjamin Griveaux. Pour régler les problèmes de violences ?