On ne parle plus d’une seule mais de trois plaintes déposées à l’encontre de Donald Trump par des femmes avec qui il aurait eu des relations extra-conjugales. L’une d'elles est allée plus loin en l’attaquant pour diffamation.
Dans de sales draps
À l’heure d’aujourd’hui, Stormy Daniels et Karen McDougal ont engagé des actions en justice pour lever les accords de confidentialité signés avec Donald Trump afin de garder sous silence leurs liaisons. Quant à Summer Zervos, cette dernière a attaqué le président des Etats-Unis pour diffamation. Sa plainte a été acceptée par une juge de New York.
Pour rappel, la candidate de l’émission de télé-réalité The Apprentice a révélé en 2016 que Donald Trump l’avait caressée et avait essayé de l’embrasser de force en 2007.
Des faits que le président américain a niés, en s'appuyant notamment sur le témoignage d’un cousin de Summer Zervos. La jeune femme aurait soi-disant voulu utiliser la notoriété de l'homme d'affaires pour se faire de la publicité.
Cependant, même si l’avocat de Donald Trump a demandé l’annulation de la procédure en décembre, la juge a validé la plainte ce mardi 20 mars.
La vérité, rien que la vérité
Le même jour, de nouvelles preuves concernant la relation entre Donald Trump et Stormy Daniels sont apparues. L’avocat de la plaignante, Michael Avenatti a publié sur son compte Twitter, une photo de sa cliente en train de passer au détecteur de mensonges.
Selon le Wall Street Journal, le test a été réalisé en mai 2011 suite à la demande du magazine In Touch, qui a révélé leur liaison.
D’après l’AFP et le Wall Street Journal, l’avocat aurait payé 25 000 dollars pour obtenir la vidéo de Stormy Daniels. Un test qui prouverait les dires de l’actrice porno mais qui n'est pas recevable pour les tribunaux.