Ce 24 avril 2022, Emmanuel Macron a été réélu Président de la République face à Marine Le Pen. Cependant, de nombreux Français ont voté pour lui à contre cœur, simplement pour contrer le RN. Malgré tout, le résultat reste le même, Emmanuel Macron dirigera la France pour les cinq ans à venir.
Cela ne semble pas être du goût de tous, et notamment d’une personne à Cergy en Ile-de-France.
Une attaque de tomates cerises
Ce 27 avril 2022, Emmanuel Macron est allé au marché de Cergy pour aller à la rencontre des Français. Cependant, certains d’entre eux n’avaient visiblement pas du tout envie de voir le Président, bien au contraire.
Alors qu’il se trouvait au cœur de la foule, Emmanuel Macron a été victime d’une attaque de… tomates cerises. Eh oui, une des personnes présentes a tenté de l’atteindre avec ces fruits sans y parvenir ! C’est complètement à côté du Président que les tomates cerises sont venues s’échouer. Emmanuel Macron n’a d’ailleurs même pas remarqué être victime d’une attaque comme nous pouvons le voir sur les images prises par BFMTV.
La sécurité d’Emmanuel Macron s’est rapidement jetée sur le Président afin de lui éviter d’autres attaques de la sorte. Un parapluie a immédiatement été déployé. La venue d’Emmanuel Macron n’avait pourtant été annoncée que le matin même.
Un Président par défaut ?
Plus que jamais, les Français étaient divisés pour cette élection Présidentielle. D’ailleurs, le taux d’abstention a atteint 28%. Si de nombreux Français ne souhaitaient pas voir le RN accéder au pouvoir, ils ne voulaient également pas un second mandat du Président Emmanuel Macron.
Afin d’éviter de voir Marine Le Pen au pouvoir, plusieurs Français ont donc fait le choix de voter Emmanuel Macron. Ce dernier en a lui-même conscience. Il avait déclaré lors de son discours après l’annonce de sa victoire :
Je sais que nombre de nos compatriotes ont voté ce jour pour moi, non pour soutenir les idées que je porte, mais pour faire barrage à celles de l’extrême droite. Je veux ici les remercier et leur dire que j’ai conscience que leur vote m’oblige pour les années à venir (…) Nous avons tant à faire.
Qu’en pensez-vous ?