Après le vol et l'agression d'une députée LREM, c'est maintenant Nadine Morano qui a subi le vol d'un bien personnel.
Nadine Morano volée
Lundi 25 octobre 2021, Nadine Morano a été victime d'un vol en plein Paris, selon les informations de Valeurs Actuelles.
Toujours selon le média, le vol a eu lieu à la gare de l'Est, aux alentours de vingt heures. La députée revenait de Nancy. Un homme a alors mis la main dans son manteau et lui a volé son iPhone 12. Une fois installée dans le taxi, elle s'est alors aperçue qu'elle n'avait plus son portable. Le téléphone géolocalisé rue du Faubourg Saint-Denis s'est rapidement éteint, confirmant la piste d'un vol.
Un bien personnel qui contient le numéro de téléphone de personnalités politiques, de journalistes, ainsi que celui du ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin. Nadine Morano a décidé de porter plainte le soir même. Pour Valeurs Actuelles, la députée a révélé :
Que ce soit dans la gare de l'Est ou dans la gare du Nord, nous ne sommes plus en sécurité. Comme beaucoup de Français, je me suis fait voler mon téléphone, nous ne sommes plus en sécurité. Cela ne devrait arriver à personne, et pourtant ça arrive à tout le monde.
Les caméras de surveillance de la gare de l'Est auraient permis à la police d'identifier rapidement un individu.
Une députée LREM agressée
Avant Nadine Morano, la députée Coralie Dubost était victime de vol et d'agression avec son compagnon, dans les rues de Paris. Il y a plus d'une semaine, le couple a été agressé par "trois ou quatre individus" à la sortie d'un restaurant situé dans le 7ème arrondissement de Paris.
Les agresseurs ont alors jeté la députée au sol, avant de lui arracher son sac, tandis que d'autres étranglaient son compagnon afin de lui dérober sa montre de luxe, d'une valeur de 12 000 euros, et son portefeuille. À la suite de cette agression, le parquet de Paris a confirmé qu'une enquête était en cours pour "vol avec violence en réunion". Sur Twitter, la députée avait réagi tout en remerciant "les forces de l'ordre et le médecin".
Sur BFMTV, elle est revenue en détail sur le soir de l'agression. Elle a alors confié ne pas croire qu'il s'agit d'une "agression politique". Pour le moment, l'enquête n'a pas révélé l'identité des agresseurs.