Cela fait plusieurs mois que l’état de santé de Vladimir Poutine intrigue la presse étrangère. L'an dernier, à plusieurs reprises, le chef d’État a été aperçu le teint très pâle, avec le visage et le cou particulièrement enflés. De quoi faire s’interroger de nombreux observateurs. Ces derniers en sont venus à se demander si Vladimir Poutine ne serait pas atteint d’une grave maladie.
Ce samedi 12 mars 2022, le Daily Mail a publié un article dans lequel sont exposées plusieurs théories qui pourraient expliquer la nouvelle apparence de Vladimir Poutine.
“Un trouble cérébral causé par la démence”
Des sources proches du Kremlin, ainsi que des hauts responsables de l’agence Five Eyes (qui comprend les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande), ont avancé que Vladimir Poutine n’aurait actuellement pas toutes ses facultés mentales. Il souffrirait “d’un trouble cérébral causé par la démence, la maladie de Parkinson ou la roid rage”.
La roid rage (rage stéroïdienne) est considérée comme un épisode psychotique court causé par l'utilisation fréquente de stéroïdes anabolisants. Les patients atteints sont plus facilement irritables et sujets à de violents accès de colère.
Selon les renseignements, Vladimir Poutine suivrait un traitement médical à base de stéroïdes pour combattre le cancer. Seulement, il provoque parfois des effets secondaires non-négligeables, comme une transformation de l’aspect physique, l’altération de certaines zones du cerveau ou les symptômes cités plus haut.
Voilà qui pourrait expliquer la décision du président russe de déclarer la guerre à l’Ukraine et de se mettre à dos la communauté internationale. La plupart des entreprises étrangères ont cessé tout commerce avec la Russie. Sur décision du gouvernement, certains réseaux sociaux, comme Instagram, ne sont désormais plus accessibles dans le pays, privant ainsi de revenus de nombreuses influenceuses.
Un comportement intrigant
Toujours selon la presse britannique, le comportement de Vladimir Poutine a été jugé “de plus en plus erratique”. Un informateur proche du service de sécurité a fait part de ses observations :
Il y a eu un changement identifiable dans sa prise de décision au cours des cinq dernières années environ. Ceux qui l’entourent voient un changement marqué dans la force et la clarté de ce qu’il dit et dans la façon dont il perçoit le monde qui l’entoure.
Son attitude distante vis-à-vis des personnes qu’il rencontre a également été étudiée. Celui qui aurait pris soin de mettre sa famille à l'abri en Suisse préfère éviter tout contact par peur d'éventuelles contaminations. C’est pourquoi il aurait fait installer Emmanuel Macron à l’autre bout d’une très longue table lors de leur dernière rencontre ou qu’il exigerait que certains invités soient dorénavant placés deux semaines à l’isolement avant de pouvoir l’approcher.