Alors que le mercato estival bat son plein, Hugo Lloris entend bien profiter de ses vacances. Depuis quelques jours, l’ancien tricolore, qui a pris sa retraite internationale après le Mondial qatari, et sa famille ont posé leurs valises dans le sud de la France, sur la Côte d’azur. Ainsi, le chef de clan passe des moments privilégiés avec sa femme Marine et leurs trois enfants.

L’entrepreneuse de 36 ans a cependant vécu une mésaventure à l’hôpital dont elle risque de se souvenir un bon moment. Prise d’une allergie très sévère, la mère de famille a décidé de se rendre aux urgences de Cagnes-sur-Mer. La trentenaire espérait ainsi être prise en charge, mais elle s'est retrouvée face à des infirmières peu enclines à l’aider.

"Deux infirmières m'ont traité avec mépris"

Où finir sa carrière quand on a été une star du football ? C’est probablement la question qui taraude Hugo Lloris. Ce qui est sûr, c’est que le champion du monde 2018 espère sortir par la grande porte.

À 36 ans, l’ancien capitaine des Bleus n’a plus rien à prouver. Ses exploits parlent pour lui et les supporters de l’équipe de France lui sont reconnaissants. Cela n’empêche cependant pas certaines personnes de se montrer hautaines et méprisantes avec les membres de sa famille. Marine en a fait la triste expérience.

(…) on a refusé de me soigner. Deux infirmières m’ont traité avec mépris et m’ont parlé avec arrogance parce que je n’avais rien à faire là sans numéro de sécu (…) L’infirmière me précise que le médecin a le choix : me soigner et être payé le lendemain, car pas de secrétaire la nuit (…) ou refuser de me soigner même si urgence, par crainte de ne pas être payé. Il a fait son choix. Ils m’ont demandé de quitter les lieux sans même vérifier mon état de santé et vérifier la gravité de mon allergie qui aurait pu empirer.

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Marine Lloris @ Instagram

La femme d’Hugo Lloris pointe du doigt le manque de considération

À titre d’information, le clan Lloris vit à Londres depuis le transfert du portier en 2012. En ce sens, la Niçoise ne bénéficie plus de sécurité sociale dans l’Hexagone. Quoi qu’il en soit, la cheffe d’entreprise ne mérite pas un tel traitement de la part du personnel soignant. C’est l’une des raisons pour lesquelles elle a tenu à exprimer son mécontentement sur Instagram.  

Je n’étais pas une urgence car je n’avais pas de numéro de sécurité sociale. Pour eux, j’étais quelqu’un dont il fallait se méfier, mais pas quelqu’un qu’il fallait soigner en urgence. Pour la première fois, je ne me suis pas sentie à ma place dans mon pays, dans la ville où je suis née. (…) Bref, je suis choquée par ce que j’ai vécu hier soir dans ma propre ville.

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