Les soucis judiciaires de Stéphane Plaza ont mis à mal sa réputation. Selon Mediapart, M6 et RTL souhaiteraient rompre leur collaboration avec le célèbre présentateur. Voici tous les détails.

Stéphane Plaza dans le tourment 

En octobre 2023, Mediapart publiait une enquête qui allait bouleverser la vie de Stéphane Plaza. Dans cette enquête, le site rapporte des témoignages accusant l’animateur de maltraitance.

Ces témoignages ont conduit à une grosse polémique. Une enquête a même été ouverte, plaçant le principal concerné dans une situation compliquée.

En effet, l’une de ses anciennes partenaires a porté plainte contre l’animateur pour agression. Selon cette dernière, il lui aurait cassé plusieurs doigts à l’époque où il sortait encore ensemble.

Et elle n’est pas la seule à s’être plainte. Après l’enquête de Mediapart, plusieurs voix se sont élevées pour dénoncer des agissements compromettants.

Ainsi, la star de M6 a fait l’objet d’un placement en garde à vue en mars 2024. Après quoi, il a reçu de la part d’un magistrat du parquet des convocations judiciaires.

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Stéphane Plaza @TF1

La décision de M6 et RTL

Alors que Stéphane Plaza se fait discret depuis plusieurs mois, M6 et RTL auraient pris une décision radicale. Selon Mediapart, les deux chaînes voudraient mettre fin à leur collaboration avec le présentateur. “Il semblerait que la fin de sa collaboration avec RTL soit actée. Et que son départ de M6 soit aussi en préparation”, affirme le média.

Notons que l’animateur a toujours nié les accusations portées contre lui. En effet, il affirme n’avoir jamais commis de tels actes. “Que Justice soit faite pour laver mon honneur. J’ai la conscience tranquille, je continue et continuerai de défendre la cause des femmes”, a-t-il déclaré en décembre 2023.

Pour information, la star de la télévision encourt jusqu'à cinq ou dix ans d’emprisonnement et une amende allant de 75 000 à 150 000 euros.

Le 7 août dernier, ses avocats ont dénoncé un chantage. “Une femme avec qui il a eu une relation tente d'utiliser le procès à venir pour mettre en œuvre des procédés utilisant le chantage et l'extorsion de fonds aux fins d'obtenir des sommes indues de sa part”, ont-ils indiqué dans un communiqué.