De passage sur RTL Matin, Thomas Dutronc a fait de bouleversantes confidences. Près de trois mois après la disparition de Françoise Hardy, il est revenu sur les derniers moments passés à ses côtés. 

La disparition de Françoise Hardy

Le 11 juin dernier, Françoise Hardy nous quittait. Une date sombre pour le monde de la musique, mais surtout pour sa famille. 

Ce jour-là, la chanteuse a laissé derrière elle son fils Thomas Dutronc, pour qui elle comptait énormément. Pour rappel, le chanteur avait eu la lourde tâche d’annoncer sa disparition. “Maman est partie”, a-t-il écrit sur Instagram.

Près de trois mois après ce drame, le fils de Jacques Dutronc a fait de nouvelles confidences. Sur RTL Matin, il a révélé que sa mère n’avait pas eu le temps d’écouter son album qui va sortir dans quelques jours. “Non, malheureusement. Comme elle est très exigeante et moi aussi, je lui faisais écouter mes albums, qu'une fois terminés parce que le mix, c’est important, mais même le mastering, parfois c’est important. Tout est important dans un disque, jusqu’à la dernière minute”, a-t-il expliqué.

Et d’ajouter : 

J’ai des amis proches qui l’apprécient beaucoup et ça me touche comme si c’était elle qui l’écoutait.

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Thomas Dutronc et Françoise Hardy @VILLARD/SIPA

Les confidences poignantes de Thomas Dutronc 

L’artiste a également profité de cette interview pour révéler un conseil que sa mère lui avait prodigué il y a de cela plusieurs années. D’après ses mots, Françoise Hardy lui aurait demandé de toujours faire ce qui le passionne. “Donc j’ai réussi à trouver quelque chose qui me passionnait et que j’aimais. J’ai vraiment beaucoup de chances par rapport à ça, la vie est plus belle avec ça”, a-t-il affirmé.

Le conseil de sa mère a permis au chanteur de mieux vivre. “J’ai la passion de la guitare et puis elle me conseillait toujours de jouer, de chanter, de travailler, de faire des chansons, de travailler ma guitare”, a-t-il ajouté.

Thomas Dutronc a également évoqué les derniers moments qu’il a partagés avec sa mère. Une occasion pour lui de se souvenir d’un geste de tendresse.

Le jour où elle est partie, on a eu de la chance de passer des moments privilégiés. Je prenais sa main, on a souri, on a regardé la finale de Roland-Garros ensemble et puis le lundi soir, elle n’était plus là.

Et de poursuivre : 

Je me rappelle aussi énormément de son rire, elle a beaucoup de chansons, émouvantes, nostalgiques, mais je me rappelle essentiellement de son rire, de sa bonne humeur et de sa tendresse extrême, immense.

De bouleversantes confidences.