Ce lundi 7 octobre 2024, Cyril Hanouna a dédié une grande partie de son programme à rendre hommage aux victimes des attaques du Hamas en Israël, qui se sont déroulées le 7 octobre 2023. Ainsi, l’animateur a pris le temps de revenir sur cet événement tragique. Ce dernier a notamment réagi aux propos d'Arthur envers Jean-Luc Mélenchon.
En effet, sur BFMTV l’animateur TF1 avait accusé Jean-Luc Mélenchon de "mettre de l'huile sur le feu". "Il harangue la foule et demande, pour commémorer les massacres du 7 octobre, que l'on mette des drapeaux palestiniens dans toutes les facultés... C'est mettre de l'huile sur le feu en permanence, c'est exploiter le malheur de la situation, qu'elle soit israélienne ou palestinienne, à des fins politiques. C'est inadmissible !", avait-il regretté.
Un hommage poignant à son père
Cependant, l’un des moments les plus émouvants de la soirée a été lorsque Cyril Hanouna a évoqué la mort de son père. Ange Hanouna, décédé le 20 août dernier qui a dû passer près de neuf mois à l'hôpital.
Après près de 9 mois à l'hôpital où il s'est battu avec un courage incroyable, mon papa nous a quittés. C'était un grand homme qui ne pensait qu'à aider les autres et qui a toujours fait le bien autour de lui. Un modèle de tolérance, d'ouverture d'esprit et d'altruisme. Tout le monde l'aimait. Et nous sa famille on l'aimait et on l'adulait. C'était notre héros. Et le héros de beaucoup de gens à qui il a sauvé la vie. Il restera toujours auprès de nous. C'était notre ange. Ange. Tu vas me manquer papa.
Avait-il écrit sur Instagram.
Emu au larmes, Cyril Hanouan est revenu sur cette épreuve. En effet, il a tenu à souligner la solidarité et le dévouement des soignants qui ont pris soin de son père, sans tenir compte de sa religion. "Mon père n'a jamais parlé de religion. Pour lui, c'était : 'il y a les cons et les gens bien'. Il soignait tout le monde", a-t-il confié.
Cyril Hanouna fait un appel à la tolérance
L’animateur a salué les efforts des soignants. En effet, ils se sont battus pour sauver son père, au-delà de tout jugement religieux.
Je suis souvent allé le voir à l'hôpital. J'ai vu les Karim, les Nabilla, les Fatou qui ont soigné mon père du matin au soir et ils ne se demandaient pas s'il était juif ou pas. Il voulait juste le sauver. Aujourd'hui, il faut se comporter comme tous ces infirmiers et infirmières qui soignaient mon père.
Un discours très émouvant qui a laisser un silence parmi les chroniqueurs.
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