Ce mardi 18 avril, Cyril Hanouna présentait un nouveau numéro de Touche pas à mon poste. Pour l'occasion, l'animateur de C8 voulait connaître le plus gros cachet de la carrière de ses chroniqueurs. Et Benjamin Castaldi a fait une révélation étonnante. Explications.
120 000 euros pour une seule journée de travail
Sur le plateau de Touche pas à mon poste, il est souvent question d'argent. C'était à nouveau le cas il y a quelques heures. En effet, Cyril Hanouna avait concocté une thématique lors de laquelle les chroniqueurs devaient révéler le plus gros cachet touché au cours de leur carrière. Évidemment, c'est Benjamin Castaldi qui a pris la parole en premier. L'ancien présentateur de Secret Story a expliqué qu'il avait reçu 120 000 euros pour une seule journée de travail. Et en plus, ce n'était pas pour la télévision.
Étonné, Cyril Hanouna voulait en savoir plus. Ainsi, Benjamin Castaldi a décidé de donner un peu plus de détail sur sa journée de travail. Le chroniqueur de Touche pas à mon poste a expliqué qu'il devait animer une convention pour un célèbre groupe d'agences immobilières à Monaco. Il a également précisé que c'est lui qui avait demandé cette somme à son employeur :
J'avais dit : 'Si vous voulez que je vienne c'est 120 000 euros', ça m'est venu comme ça. Je me suis dit : 'Qui ne tente rien n'a rien', donc voilà. Mais, à l'époque ils payaient très bien. Surtout pour les conventions, c'était énorme.
Benjamin Castaldi dans TPMP
Benjamin Castaldi en difficulté financière
Malgré ce très bon salaire, Benjamin Castaldi a fait faillite. En effet, durant les dernières années, le chroniqueur de Cyril Hanouna a évoqué à plusieurs reprises les problèmes d'argents qu'il rencontre aujourd'hui. Très endetté, il doit aujourd'hui, donner l'ensemble de ses salaires au fisc.
Quant aux autres chroniqueurs, c'est Gilles Verdez qui remporte haut la main le trophée. Durant sa carrière de journaliste, il avait perçu un véritable pactole lorsqu'il avait été licencié du journal Le Parisien. Il faut dire que Gilles Verdez occupait un poste important au sein de la rédaction du Parisien. Il avait alors décidé d'attaquer son ancien employeur et empoché plus de 300 000 euros pour l'occasion. Une somme qu'aucun des autres chroniqueurs ne pouvait égaler.