D’ordinaire très discrète sur sa vie familiale, Victoria Beckham a pourtant créée la surprise en se confiant au Financial Times.
"La dyslexie ne coule pas dans nos veines, elle en jaillit"
Si le clan Beckham renvoie l'image d’une famille parfaite à qui tout réussi, il doit finalement, comme toutes les familles, affronter certains problèmes. Ainsi, Victoria Beckham s'est-elle récemment confiée sur les difficultés d'apprentissage que ses enfants et elle rencontrent.
En effet, la styliste a révélé au Financial Times qu'elle était une « dyslexique auto-diagnostiquée ». Par ailleurs, elle a évoqué les difficultés scolaires de ses enfants.
La dyslexie ne coule pas dans nos veines, elle en jaillit
Pourtant, ce trouble ne l’a pas empêchée de mener à bien sa carrière de chanteuse puis de styliste. Et comme elle, deux de ses enfants semblent vouloir se diriger vers des voies artistiques. En effet, Victoria Beckham a notamment expliqué que tous étaient intéressés par des activités artistiques ou sportives. Elle a précisé que son fils aîné de 20 ans, Brooklyn, était un photographe en herbe. Qu’à 16 ans, Romeo s'entraînait pour devenir joueur de tennis. Que Cruz, 14 ans, aimait chanter. Et, que Harper, la petite dernière de 8 ans, « c'est un vrai garçon manqué ».
Enfin, au cours de son interview, Victoria Beckham est revenue sur les « talents footballistiques innés » de ses trois garçons. Cependant, contrairement à leur père David Beckham, ils ont choisi de ne pas marcher sur les pas de leur illustre père.
Ils avaient tous les trois des contrats avec Arsenal. Brooklyn a été le premier à dire qu’il ne voulait plus jouer au football. Et puis, Romeo a décidé qu’il ne voulait plus en faire non plus. Je me souviens de lui, allongé dans son bain et très contrarié. Il disait "Je ne veux pas décevoir Papa". Alors je lui ai répondu que son père voulait juste qu’il soit heureux. Maintenant il joue au tennis tous les jours.
Une jolie famille !