Elle explose actuellement à l’écran dans le film à la senteur de soufre, Benedetta. Virginie Efira, très crédible en nonne avec des visions et entretenant une relation homosexuelle avec une nouvelle religieuse, fait donc une grande tournée médiatique.
Elle est ainsi en couverture du numéro d’août du magazine Vanity Fair. Et elle a accordé une longue interview au magazine, revenant sur certains des traumatismes de sa vie.
Des professeurs traumatisants
L’actrice a ainsi raconté l’odieuse réaction de certains de ses professeurs lorsqu’elle leur a annoncé son intention de devenir actrice :
On me faisait des blagues très humiliantes. Je me souviens d'un prof de maths qui plaisantait en me disant : "C'est combien, Virginie ?" Et donc je rigolais aussi pour donner le change. C'était presque normal. C'est ensuite que j'ai revisité ces endroits d'humiliation. Ces souvenirs sont devenus des moments de trouble bien plus tard. Le passé s'est éclairé d'autres choses. C'est le propre de la mémoire d'être en mouvement. J'ai appris à changer la perception de ce qui a été vécu comme une honte, une douleur, à en atténuer le sentiment de gravité.
Un surnom très humiliant pour Virginie Efira
Et ce n’est pas tout niveau remarques humiliantes puisque Virginie Efira a aussi confié un surnom qu’on lui avait attribué durant son adolescence, "Force orange", en raison de la trop grande quantité de maquillage qu’elle s’appliquait sur la peau. L’actrice s’est souvenue que cette absence de mesure dans les apparats était restée durant des années :
J'étais vulgaire, je m'habillais de façon très outrancière. Même à Cannes, les premières fois, j'avais les seins dehors. J'étais hypermaquillée, je ne captais pas les codes. Ça va mieux maintenant.
On espère d’ailleurs que les professeurs qui se sont permis des remarques à Virginie Efira se mordent ls doigts aujourd’hui d’avoir loupé l’occasion de motiver celle qui s’impose de plus en plus comme une grande actrice.