Yves Lecoq traverse des moments difficiles. Invité à s’exprimer sur sa situation financière par Jordan de Luxe sur Non Stop People, l’imitateur a donné des nouvelles peu rassurantes. Alors qu’il n’a plus d’activité professionnelle, il doit cependant continuer à entretenir son coûteux patrimoine immobilier :
Vous savez quand on vous arrête, du jour au lendemain... J'ai pas d'impôt de la fortune, tellement je suis endetté sur les châteaux. J'ai des charges pour l'entretien de ces châteaux. Un château, ça ne vaut rien.
Explique-t-il désemparé.
S’il a déjà vendu deux de ses châteaux, le septuagénaire souhaiterait en mettre un autre en vente :
Ce n'est pas facile à vendre, surtout en ce moment parce que les gens ne veulent plus s'endetter à gérer ce genre de truc.
Souligne-t-il avant de préciser que sa fortune a été engloutie par ses propriétés :
Un château, c'est en moyenne 10.000 euros par mois de frais (...) Je n'ai pas d'assurance vie. J'ai rien. Tout mon argent est là-dedans.
Et s’il est contraint de se séparer de ses biens, le présentateur des Grands du rire doit aussi affronter les huissiers quotidiennement :
C'est quand même pas très agréable, parce que tous les matins, c'est tel huissier à appeler, tel huissier à appeler, alors petit à petit, on règle, avec des arrangements...
Un salaire confortable
Pourtant, Yves Lecoq confie avoir très bien gagné sa vie. Inoubliable imitateur des Guignols, il était payé en conséquence :
Par rapport à ce que j'aurais gagné si je n'avais pas fait les Guignols, c'était moindre, mais évidemment, c'était des gros salaires ! En gros, c’était 15 à 20 000 euros par mois.
Lâche-t-il avant de préciser qu’aujourd’hui, il ne touche plus rien et qu’il n’a pas un centime de côté.
Il y a quelques semaines, c’était au tour d’Armande Altaï de révéler à Jordan de Luxe qu’elle vivait avec 900 euros par mois.