Certains ont du mal à finir le mois, à manger suffisamment ou même à avoir un toit au-dessus de leurs têtes. Mais tout ça ce n'est rien comparé aux difficultés de James Innes-Smith qui est... Trop beau.
"Etre beau comme moi, c'est pénible"
Il faut reconnaître que la vie n'a pas toujours été aussi difficile pour James Innes-Smith. Comme il l'explique dans ce témoignage relayé par Closer, il n'a pas toujours été beau. Ainsi à l'âge de 14 ans, c'était même tout le contraire.
J'étais horriblement mal dans ma peau. J'avais la bouche pleine de métal, un strabisme sévère et une attelle orthopédique à la jambe droite. La coupe au bol, un cache-œil médical et de vieilles lunettes tordues à la John Lennon, qui tenaient avec un sparadrap, complétaient un look que je ne peux que qualifier de méga-geek.
Mais en quelques mois, grâce à la fée puberté, il s'est transformé.
Il ne m'a pas fallu longtemps pour apprendre que les apparences sont très puissantes dans notre société et que, même si le sujet reste tabou, les femmes ne sont pas les seules à bénéficier de ce qu'on appelle "la suprématie des beaux".
Pour lui cela aurait surtout posé comme problème qu'il se sent traité comme un objet.
C'est pénible d'être beau comme moi. J'ai été traité comme un objet. Beaucoup de femmes ont eu envers moi des attentes irréalistes fondées sur mon physique. Certaines espéraient le package Porsche-super maison-carrière de rêve et se retrouvaient déçues en apprenant que je n'étais qu'un comédien bohème devenu auteur en appartement. D'autres, telles que celle qui est aujourd'hui ma femme, pensaient que j'étais un goujat en puissance et m'évitaient soigneusement.
On a tout de même un peu de mal à se sentir peiné pour lui, soyons honnêtes...