Il y a quelques jours, Cyril Hanouna animait la dernière de cette saison de Touche pas à mon poste avant de prendre des vacances bien méritées. Mais le trublion de C8 ne délaisse pas ses fanzouzes pour autant. Ils auront ainsi le plaisir de profiter d'une nouvelle émission, intitulée TPMP même l'été, en attendant le retour de TPMP à l'antenne à partir de la rentrée.
En attendant, les chroniqueurs emblématiques du programme restent fidèles au poste. Aussi, ce lundi 4 juillet, on a pu retrouver aux commandes Benjamin Castaldi, entouré de Jean-Michel Maire, Maxime Guény, Jean-Pascal Lacoste ou encore Magali Berdah.
Un débat qui divise
Après que ses collègues ont fait part de quelques anecdotes les concernant, Benjamin Castaldi a évoqué le monde de la télé-réalité. Un débat qui a quelque peu agité le plateau et fait vivement réagir Magali Berdah, toujours prompte à défendre les candidats de télé-réalité qu'elle représente via son agence. Toutefois, les arguments de celle qui espère la création d'un ministère des réseaux sociaux n'ont pas l'unanimité autour de la table.
Benjamin Castaldi est indissociable de la télé-réalité française. Après le carton de Loft Story sur M6 en 2001, il a animé Secret Story sur TF1 durant de nombreuses années. D'ailleurs, son fils Simon fait lui aussi partie du milieu puisqu'on a pu le voir dans le cross 6 des Marseillais, Objectif Reste du Monde ou encore cette cinquième saison des Apprentis Aventuriers. Aussi, l'animateur en connaît un rayon sur le milieu.
"On a eu des cas très graves"
Lors du débat sur le thème : "Faut-il interdire la télé-réalité ?", Benjamin Castaldi a fait intervenir les différents chroniqueurs sur l'image retransmise par les candidats de télé-réalité : entre l'abus de chirurgie esthétique, les rumeurs de prostitution ou de drogues, les avis étaient bien tranchés. Et si que Magali Berdah avait à cœur de tenter de redorer le blason de la télé-réalité, Benjamin Castaldi a reconnu qu'il y avait parfois "des dérives" :
Si vous êtes un candidat fragile, avec une faiblesse, soit morale, soit une dépression… On a eu des cas très graves dans Secret Story, des candidats très fragiles. Et notre erreur à nous, producteurs, c'est de les avoir acceptés. Car on le savait. Et forcément, il y a des dérives.
Et d'affirmer :
Je continue à dire que si tu es sain d'esprit, il n'y a pas de raison que ça se passe mal.
Un débat qui a également agité les réseaux sociaux.