Benjamin Castaldi et Sylvie Ortega Munos ne se supportent pas. Désormais, leur inimitié a éclaté au grand jour depuis l’affaire Loana. En effet, Benjamin Castaldi ne s’est pas vraiment rangé du côté de Sylvie Ortega Munos, chose à laquelle elle s’attendait.
Lors d’une interview qu’elle a bien voulu nous accorder, elle n’avait pas hésité à dire tout le mal qu’elle pensait de Benjamin Castaldi, affirmant l’attaquer en justice.
Benjamin Castaldi, on se retrouvera avec nos avocats au tribunal. Cet homme-là qui n’est rien pour moi. Juste une personne qui me traite de meurtrière et ira droit au tribunal régler ses comptes.
a-t-elle déclaré alors.
Des explications houleuses sur le plateau de TPMP
Alors qu’elle était venue se défendre suite aux accusations de Loana à son encontre. Pour rappel, Loana l’accuse de l’avoir plongée dans le coma après lui avoir donné trop de médicaments ainsi que de lui avoir volé des bijoux, Sylvie Ortega Munos s’est emportée contre Benjamin Castaldi qui a essayé d’intervenir dans le débat. Très vite, le ton est monté et les insultes ont fusé.
La séquence a été beaucoup commentée sur la toile, tout comme l’altercation entre Sylvie Ortega Munos et Eryl Prayer.
Benjamin Castaldi a décidé de ne pas se laisser faire et a mis en garde Sylvie Ortega Munos.
Une plainte qui n’attend que d’être déposée
C’est sur le plateau de TPMP le 3 mars 2021 que Benjamin Castaldi a décidé de prendre la parole à ce sujet. Pour l’occasion, il a écrit une lettre adressée à Sylvie Ortega Munos.
Madame, vous croyez bon de courir les plateaux télé dans le but de m'injurier publiquement. Le présent mail a donc pour objet de vous rappeler que la loi punit les injures publiques par la condamnation à une amende de 12 000 euros, outre les dommages et intérêts. Même si je comprends votre attitude, que souffrant d'un manque de notoriété, vous tentez de faire parler de vous à tout prix, y compris par des moyens illégaux, nous ne partageons pas du tout la même philosophie. A la moindre nouvelle injure et à quelques moyens que ce soient, je vais porter plainte. Enfin vous comprendrez aisément que ce courrier ne contienne aucune formule de politesse.
De son côté, Sylvie Ortega Munos a affirmé ne pas avoir été celle qui a jeté la première pierre dans cette histoire.
Qu’en pensez-vous ?