Faustine Bollaert cartonne avec son émission testimoniale Ça commence aujourd’hui sur France 2. Il n’est pas donné à tout le monde de pouvoir présenter un tel programme où des invités se confient à cœur ouvert sur des sujets parfois très sensibles et douloureux.
Cela a été le cas ce 15 février 2021 avec une invitée sur le plateau qui évoquait alors, en larmes, sur l’accident de moto qui a changé sa vie.
Un accident de moto qui lui a fait ouvrir les yeux
La compagne de Fabien est alors revenue sur l’accident de moto de son compagnon duquel il est ressorti un bras en moins. Cela a alors fait ouvrir les yeux à Angela sur les sentiments qu’elle porte envers ce dernier.
Je me suis rendu compte que je ne le retrouverais jamais comme il était.
A déclaré la jeune femme qui a connu Fabien lorsqu’elle avait 15 ans avant qu’ils ne s’éloignent l’un de l’autre.
Quand j’avais 15 ans je disais à ma maman que je me marierai avec Fabien. J’en étais sûre. Donc en fait c’était une vie qui s’effondre. C’est des choses qui étaient enfouies, parce que pendant toute cette période où on ne se voyait pas, j’y pensais mais j’étais passée à autre chose. C’est à ce moment-là que cette volonté de faire ma vie avec lui est ressortie.
Faustine Bollaert raconte la tragédie qui a marqué sa vie
C’est avec difficulté que Faustine Bollaert tentait alors de retenir ses larmes en vain.
C’est beau parce que… excusez-moi.
a-t-elle déclaré, emportée par ses émotions.
Au moment où il est le plus fragile, ça vous saute aux yeux que votre amour est déjà solide.
Si l’histoire d’Angela et Fabien touche autant l’animatrice, c’est parce qu’elle touche de près une tragédie qu’elle a vécue dans sa jeunesse. Le premier amour de la femme de Maxime Chattam est décédé dans un accident de moto.
Dans l’émission Ça ne sortira d’ici, Faustine Bollaert avait alors avoué :
J'ai perdu mon petit ami aussi d'un accident de moto, quand j'avais....c'est la première fois que j'en parle, j'avais pas 18 ans, c'était mon premier grand amour.
Difficile donc de ne pas y penser face aux témoignages d’Angela et Fabien.