Chaque soir de la semaine, l’actualité est décryptée par Cyril Hanouna et sa bande de chroniqueurs sur le plateau de Touche pas à mon poste. L’occasion pour ces derniers de faire des révélations au sujet des personnalités publiques sinon à propos d’eux-mêmes.
Récemment, Delphine Wespiser, qui vient de se séparer de son compagnon, dévoilait les nombreux présents auxquels avaient droit les Miss France. "Il y a des voitures, des parures en diamant, des i-Pad, des ordinateurs, un appartement et des voyages". En plus d’un salaire de 4 500 euros par mois. De quoi faire rêver les nombreuses prétendantes au titre.
Une addiction néfaste
Ce vendredi 27 janvier 2023, Benjamin Castaldi, qui remplaçait exceptionnellement Cyril Hanouna, a abordé un autre sujet avec les chroniqueurs. Il est revenu sur les déclarations d’Élodie Frégé dans le podcast Contre-addictions, présenté par la chanteuse Rose. Celle qui a remporté la troisième saison de la Star Academy a fait part de son addiction à l’alcool, expliquant avoir le "rituel du verre" avant de monter sur scène. "J'ai une vraie addiction qui dure jusque-là, mais qui pour l'instant n'est pas un problème. Ou alors je me voile la face, c'est que je ne peux pas monter sur scène sans boire", a-t-elle avoué.
Et de s’inquiéter :
Alors ça, je pense que je ne l'ai jamais dit en interview. C'est rien, ce sont deux verres, mais ce sont deux verres… Donc si j'avais énormément de succès et que j'avais des concerts tous les soirs, serais-je alcoolique ? Vraiment, c'est terrible !"
Un jeu dangereux
Benjamin Castaldi a ensuite voulu savoir si ses collègues avaient eux aussi des addictions. Se faisant un brin moqueuse, Sophie Coste lui a alors lancé :
Vous êtes addict aux femmes, aux mariages ?
Pour rappel, le père de Simon Castaldi est connu pour s’être marié à quatre reprises.
C’est finalement Gilles Verdez qui s’est lancé le premier en révélant qu’il avait longtemps été turfiste. Mais son addiction aux courses lui a coûté beaucoup d’argent. "J’avais une vraie addiction aux jeux, aux courses hippiques", a-t-il déclaré.
Et d’admettre que l’envie de parier ne lui était jamais complètement passée :
Même maintenant, je me force à ne pas rejouer parce que je suis sûr de pouvoir gagner beaucoup. J'avais gagné énormément et j'ai tout perdu sur une course donc j'ai arrêté immédiatement, plusieurs milliers d'euros que j'avais gagnés… On perd tout d'un coup en une seconde, mais c'est tentant.
Visiblement, Gilles Verdez a retenu la leçon.